La Confédération générale du logement (CGL) et l'association Consommation, Logement et Cadre de vie (CLCV) et la Confédération générale du logement (CGL) refusent de signer l'accord sur les ventes à la découpe, dont les grandes lignes ont été présentées jeudi par le ministère du Logement.
Cet accord qui contient essentiellement des mesures de protection des personnes âgées et des invalides, doit être soumis à la signature des associations de locataires et des représentants des bailleurs au sein de la commission nationale de concertation (CNC) à la mi-février.
"La CLCV, signataire de l'accord de 1998, qui a mis en place les premières protections de locataires issues de la concertation en cours à la CNC, ne signera pas le texte", a indiqué l'association de consommateurs dans un communiqué.
Estimant que les mesures proposées sont "insuffisantes", elle souhaite que les négociations continuent et que soit abordée la question d'une décote obligatoire permettant au locataire d'acheter son logement à un tarif préférentiel.
De même, elle considère qu'il est essentiel que soit garanti aux personnes de plus de 70 ans un maintien dans les lieux sans condition.
La Confédération générale du logement (CGL), qui fait partie des cinq associations de locataires au sein de la CNC, a elle aussi indiqué vendredi qu'elle "refuse d'entériner" l'accord.
Depuis plusieurs mois, les ventes d'immeubles "à la découpe" sont décriées par certains locataires poussés à quitter leur logement, faute de pouvoir les racheter, compte tenu de la flambée des prix de l'immobilier.
Vendredi, le groupe socialiste à l'Assemblée nationale a "exigé" "un moratoire sur les ventes à la découpe", comme le demande le maire de Paris Bertrand Delanoë, et a annoncé son intention de déposer une proposition de loi pour "renforcer véritablement" les droits des locataires.
"La CLCV, signataire de l'accord de 1998, qui a mis en place les premières protections de locataires issues de la concertation en cours à la CNC, ne signera pas le texte", a indiqué l'association de consommateurs dans un communiqué.
Estimant que les mesures proposées sont "insuffisantes", elle souhaite que les négociations continuent et que soit abordée la question d'une décote obligatoire permettant au locataire d'acheter son logement à un tarif préférentiel.
De même, elle considère qu'il est essentiel que soit garanti aux personnes de plus de 70 ans un maintien dans les lieux sans condition.
La Confédération générale du logement (CGL), qui fait partie des cinq associations de locataires au sein de la CNC, a elle aussi indiqué vendredi qu'elle "refuse d'entériner" l'accord.
Depuis plusieurs mois, les ventes d'immeubles "à la découpe" sont décriées par certains locataires poussés à quitter leur logement, faute de pouvoir les racheter, compte tenu de la flambée des prix de l'immobilier.
Vendredi, le groupe socialiste à l'Assemblée nationale a "exigé" "un moratoire sur les ventes à la découpe", comme le demande le maire de Paris Bertrand Delanoë, et a annoncé son intention de déposer une proposition de loi pour "renforcer véritablement" les droits des locataires.