Elle considère que l'immobilier devrait rester l'une des meilleures catégories d'investissement en 2003, grâce à la peur des actions et à l'absence de bulle spéculative.
" Une réévaluation générale de l'immobilier est en cours. De nombreuses qualités de ces actifs (leur capacité à conserver de la valeur, leur rendement, leur visibilité, leur faible corrélation avec d'autres actifs) n'ont été perçues que récemment par l'ensemble des investisseurs ", explique la banque allemande, qui continue de miser sur l'investissement immobilier, après une année 2002 performante.
L'étude menée par la banque indique que parmi les nombreuses raisons de croire en l'investissement immobilier, la tendance à la déréglementation des marchés et la titrisation de plus en plus fréquente d'actifs sont en bonne place. Sur ce dernier point, la banque insiste sur l'amélioration de la visibilité et de leur liquidité.
D'autres raisons s'ajoutent à l'optimisme de la banque. La stabilisation des taux d'intérêt à un niveau bas, la " peur des actions " qui devrait continuer à drainer les investisseurs vers le marché de l'immobilier, même après une remontée des actions, et qui permet un rééquilibrage des allocations d'actifs.
La banque assure également qu'aucune bulle spéculative ne risque de gonfler. Il n'y aurait aucun déséquilibre entre l'offre et la demande.
D'un point de vue géographique, elle considère que les pays d'Europe centrale et orientale offrent encore de bons rendements, et que, même s'ils baissent rapidement, " ils offrent encore des opportunités à saisir ".
En revanche, l'Asie serait victime d'une " effarante volatilité " des rendements. " Dans ce contexte, la Chine semble intéressante pour des investisseurs en quête de hauts rendements ", mais qui apprécient le goût du risque, conclut l'étude.
L'étude menée par la banque indique que parmi les nombreuses raisons de croire en l'investissement immobilier, la tendance à la déréglementation des marchés et la titrisation de plus en plus fréquente d'actifs sont en bonne place. Sur ce dernier point, la banque insiste sur l'amélioration de la visibilité et de leur liquidité.
D'autres raisons s'ajoutent à l'optimisme de la banque. La stabilisation des taux d'intérêt à un niveau bas, la " peur des actions " qui devrait continuer à drainer les investisseurs vers le marché de l'immobilier, même après une remontée des actions, et qui permet un rééquilibrage des allocations d'actifs.
La banque assure également qu'aucune bulle spéculative ne risque de gonfler. Il n'y aurait aucun déséquilibre entre l'offre et la demande.
D'un point de vue géographique, elle considère que les pays d'Europe centrale et orientale offrent encore de bons rendements, et que, même s'ils baissent rapidement, " ils offrent encore des opportunités à saisir ".
En revanche, l'Asie serait victime d'une " effarante volatilité " des rendements. " Dans ce contexte, la Chine semble intéressante pour des investisseurs en quête de hauts rendements ", mais qui apprécient le goût du risque, conclut l'étude.