Les promoteurs d'un projet de parc éolien au Kenya ont déclaré avoir rompu les négociations avec l'un des principaux investisseurs pressentis, le Britannique Globeleq. La raison évoquée : des différences stratégiques.
Les promoteurs d'un projet de parc éolien au Kenya ont cessé les négociations avec l'un des principaux investisseurs pressentis, le Britannique Globeleq. En effet, la filiale du groupe britannique CDC, spécialisée dans la production énergétique dans les pays émergents, voulait conditionner les investissements dans ce projet éolien à la réalisation de la ligne de transmission de l'électricité produite.
«Nous étions en désaccord avec cela car le projet aurait été retardé de 12 à 20 mois», a déclaré le président du consortium pour la centrale éolienne du Lac Turkana (LTWP), Carlo Van Wageningen, interrogé au téléphone par l'AFP. Malgré ce différend, le projet est toujours en cours et le responsable du consortium a parlé de pourparlers avec un autre opérateur.
Au total, ce parc, d'un montant 430 millions d'euros, doit produire 300 mégawatts.
«Nous étions en désaccord avec cela car le projet aurait été retardé de 12 à 20 mois», a déclaré le président du consortium pour la centrale éolienne du Lac Turkana (LTWP), Carlo Van Wageningen, interrogé au téléphone par l'AFP. Malgré ce différend, le projet est toujours en cours et le responsable du consortium a parlé de pourparlers avec un autre opérateur.
Au total, ce parc, d'un montant 430 millions d'euros, doit produire 300 mégawatts.