Chacune des deux verrières a été réalisées avec un souci du détail extrêmement précis. Le ferronnier a d'abord choisi des ouvertures classiques plutôt que des montants coulissants. "On aurait perdu le côté atelier, l'esprit ancien que souhaitaient les propriétaires" explique-t-il. Trois portes-fenêtres ont donc été prévues, deux côtés salle à manger, une côté cuisine. "Sur chacune, il y a deux vantaux pour lesquels nous avons réalisés des recouvrements dormants de 20 mm. De cette façon, lorsque l'on regarde la verrière, on ne voit pas de différence entre les ouvrants et la structure fixe" précise Christophe Lapacz.

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