Dans cette optique, le cabinet d'architectes a associé des rythmes verticaux et horizontaux, du minéral et du végétal, de l'ombre et de la lumière, s'inspirant des caractéristiques des façades parisiennes. Il a par exemple réinterprété les balcons filants caractéristiques des étages très marqués des immeubles haussmanniens, ainsi que leurs rez-de-chaussée aux volumes généreux, leurs fenêtres verticales en bois et la matérialité minérale de leurs façades.
Sur ce dernier point, les architectes ont choisi le béton architectonique préfabriqué finition acidée, "un matériau contemporain qui remplace la pierre de taille", explique Laurent Gravier, afin de conférer au bâtiment "une matérialité noble, massive et pérenne."