De nombreux logements ont été construits, passant de 86 à 129. "Les bâtis, à l'époque de leur édification, ne devaient pas durer. Ils sont finalement restés plus de 40 ans car la présence d'une digue rendait toute autre construction impossible", raconte à Batiactu Raphaël Ficarelli, responsable du pôle aménagement public et valorisation foncière à DomoFrance. "Le risque de rupture rendait la quasi-totalité du foncier inconstructible." Domofrance a alors racheté le foncier au propriétaire de l'époque, qui faisait également partie du groupe Action Logement, pour lancer ce projet de parc urbain.

 

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