La dégradation de l'environnement coûterait cher aux pays arabes, soit près de 5% du PIB. Résultat : les pays arabes pourraient être confrontés à la pénurie d'eau potable, la désertification et la pollution de l'air, selon un rapport d'experts.
Grands constructeurs, les pays arabes paieraient près de 5% de leur PIB chaque année leur dégradation de l'environnement.
Un rapport d'experts arabes indépendants souligne des risques possibles de pénurie d'eau potable, de désertification, de pollution de la mer et de l'air dans les pays arabes en raison des changements climatiques. Selon ce rapport, «les changements climatiques, la croissance démographique et le rythme rapide du développement urbain et économique dans certains pays arabes sont autant de facteurs qui multiplient les risques écologiques dans la région». De plus le rapport indique que « l'exploitation inadéquate des ressources naturelles sape le développement économique et les efforts pour réduire la pauvreté». Enfin, selon ce rapport, les gouvernements arabes «ont échoué à adopter des politiques claires et efficaces pour contenir le coût croissant» des problèmes liés à l'environnement.
Un rapport d'experts arabes indépendants souligne des risques possibles de pénurie d'eau potable, de désertification, de pollution de la mer et de l'air dans les pays arabes en raison des changements climatiques. Selon ce rapport, «les changements climatiques, la croissance démographique et le rythme rapide du développement urbain et économique dans certains pays arabes sont autant de facteurs qui multiplient les risques écologiques dans la région». De plus le rapport indique que « l'exploitation inadéquate des ressources naturelles sape le développement économique et les efforts pour réduire la pauvreté». Enfin, selon ce rapport, les gouvernements arabes «ont échoué à adopter des politiques claires et efficaces pour contenir le coût croissant» des problèmes liés à l'environnement.