Alors que s'engage la révision du Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF), les utilisateurs de la Défense veulent un nouveau développement du plus grand quartier d'affaires européens.
"Des tours vont encore pousser à La Défense" affirmait Le Parisien dans son édition du 18 novembre. Le journal s'appuyait sur les témoignages d'experts, mais aussi de Pierre Pommelet, chargé de mission au ministère du Logement qu'il reste encore des mètres carrés en réserve.
C'est bien l'avis des utilisateurs du quartier, et notamment de l'association de grandes entreprises implantées à la Défense (AUDE) qui souhaite que ce pôle d'affaires garde son attractivité et poursuive son développement.
Dans un communiqué mardi, l'association, qui comprend Axa, Areva, Société générale, Elf, Unibail..., souhaite que le quartier ne soit pas oublié.
Cet important document régit les grands équilibres du territoire (activités économiques, extensions urbaines...). Un de ses enjeux devrait être le rééquilibrage vers l'Est de l'IDF.
La Défense est "une belle réussite dont les étrangers cherchent à percer les secrets", selon Aude qui met en avant sa puissance économique, illustrée par la taxe professionnelle que versent ses entreprises : plus de 150 millions d'euros.
La Défense abrite trois millions de m2 de bureau, 150.000 emplois, 5.500 logements occupés par 21.000 habitants, d'importants équipements : CNIT, Grande Arche...
Son avenir, pour l'association, dépendra "des décisions qui seront prises sur sa nouvelle gouvernance", et "la définition du nouveau projet qui relayera la phase de construction".
Le succès sera "à la mesure de l'ambition" visant à "conforter ce qui est un extraordinaire atout pour l'Ile-de-France", ajoute AUDE. "Maintenir le quartier en l'état ne serait pas suffisant". Après la phase de construction qui s'achèvera avec la fin de l'EPAD, Etablissement public d'aménagement de la Défense, fondé en 1958 et qui sera clos en 2007, il convient "d'engager un nouveau cycle".
Ce cycle doit comprendre, aux yeux d'AUDE, "le renouvellement du parc immobilier des premières générations de tours, des mises à niveau des bâtiments, anciens, des démolitions-reconstructions, des constructions neuves".
Il faut aussi "augmenter la capacité d'accueil du site", mettre à niveau ses équipements technologiques, "ouvrir le quartier vers ses territoire mitoyens".
C'est bien l'avis des utilisateurs du quartier, et notamment de l'association de grandes entreprises implantées à la Défense (AUDE) qui souhaite que ce pôle d'affaires garde son attractivité et poursuive son développement.
Dans un communiqué mardi, l'association, qui comprend Axa, Areva, Société générale, Elf, Unibail..., souhaite que le quartier ne soit pas oublié.
Cet important document régit les grands équilibres du territoire (activités économiques, extensions urbaines...). Un de ses enjeux devrait être le rééquilibrage vers l'Est de l'IDF.
La Défense est "une belle réussite dont les étrangers cherchent à percer les secrets", selon Aude qui met en avant sa puissance économique, illustrée par la taxe professionnelle que versent ses entreprises : plus de 150 millions d'euros.
La Défense abrite trois millions de m2 de bureau, 150.000 emplois, 5.500 logements occupés par 21.000 habitants, d'importants équipements : CNIT, Grande Arche...
Son avenir, pour l'association, dépendra "des décisions qui seront prises sur sa nouvelle gouvernance", et "la définition du nouveau projet qui relayera la phase de construction".
Le succès sera "à la mesure de l'ambition" visant à "conforter ce qui est un extraordinaire atout pour l'Ile-de-France", ajoute AUDE. "Maintenir le quartier en l'état ne serait pas suffisant". Après la phase de construction qui s'achèvera avec la fin de l'EPAD, Etablissement public d'aménagement de la Défense, fondé en 1958 et qui sera clos en 2007, il convient "d'engager un nouveau cycle".
Ce cycle doit comprendre, aux yeux d'AUDE, "le renouvellement du parc immobilier des premières générations de tours, des mises à niveau des bâtiments, anciens, des démolitions-reconstructions, des constructions neuves".
Il faut aussi "augmenter la capacité d'accueil du site", mettre à niveau ses équipements technologiques, "ouvrir le quartier vers ses territoire mitoyens".