Jean-Paul Huchon, président du conseil régional Ile-de-France, a estimé vendredi que le 3ème aéroport serait "très proche de Reims" tandis que le ministère des Transports faisait savoir que "aucune décision n'est prise à ce jour".
Le ministère de l'Equipement et des Transports a réagit aux propos de Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, qui a déclaré vendredi sur France 2 que "tout converge pour que le troisième aéroport soit très proche de Reims, relié au TGV".
Le ministère "confirme que le processus visant à retenir le site de la future plate-forme aéroportuaire est actuellement en cours et qu'aucune décision n'est prise à ce jour", précise le communiqué.
Par ailleurs, le conseil général de la Somme a rejeté jeudi soir le projet d'implantation du troisième aéroport du bassin parisien dans ce département par 34 voix contre 8 et 4 abstentions, a-t-on indiqué vendredi auprès du conseil général de l'Oise.
Celui-ci, comme celui de l'Aisne, s'était déjà prononcé contre ce projet, faisant l'unanimité des trois départements formant la région Picardie où le conseil régional ne s'exprimera que le 5 octobre.
Sur les huit sites actuellement étudiés par la commission DUCSAI (Démarche d'Utilité Concertée pour un Site Aéroportuaire International) quatre sont situés en Picardie, Chaulnes, Hangest-en-Santerre et Montdidier-sud dans la Somme et Juvincourt dans l'Aisne, les autres sites étant à Beauvilliers, en Eure-et-Loir, et trois sites dans la Marne, Vatry, les Grandes-Loges et Bertaucry.
L'aéroport, destiné à désengorger les aéroports parisiens de Roissy et Orly, entraînerait le gel de 3.300 hectares et verrait passer environ 35 millions de passagers par an. 48 communes seraient situées en zone d'exposition maximale au bruit et plus d'une centaine dans la zone générale de pollutions et nuisances sonores tandis que deux zones naturelles protégées seraient touchées, a estimé le conseil général de l'Oise.
La DUCSAI rendra à la mi-octobre ses conclusions qui ne comporteront pas de choix du site dont la décision incombe au gouvernement.
Le ministère "confirme que le processus visant à retenir le site de la future plate-forme aéroportuaire est actuellement en cours et qu'aucune décision n'est prise à ce jour", précise le communiqué.
Par ailleurs, le conseil général de la Somme a rejeté jeudi soir le projet d'implantation du troisième aéroport du bassin parisien dans ce département par 34 voix contre 8 et 4 abstentions, a-t-on indiqué vendredi auprès du conseil général de l'Oise.
Celui-ci, comme celui de l'Aisne, s'était déjà prononcé contre ce projet, faisant l'unanimité des trois départements formant la région Picardie où le conseil régional ne s'exprimera que le 5 octobre.
Sur les huit sites actuellement étudiés par la commission DUCSAI (Démarche d'Utilité Concertée pour un Site Aéroportuaire International) quatre sont situés en Picardie, Chaulnes, Hangest-en-Santerre et Montdidier-sud dans la Somme et Juvincourt dans l'Aisne, les autres sites étant à Beauvilliers, en Eure-et-Loir, et trois sites dans la Marne, Vatry, les Grandes-Loges et Bertaucry.
L'aéroport, destiné à désengorger les aéroports parisiens de Roissy et Orly, entraînerait le gel de 3.300 hectares et verrait passer environ 35 millions de passagers par an. 48 communes seraient situées en zone d'exposition maximale au bruit et plus d'une centaine dans la zone générale de pollutions et nuisances sonores tandis que deux zones naturelles protégées seraient touchées, a estimé le conseil général de l'Oise.
La DUCSAI rendra à la mi-octobre ses conclusions qui ne comporteront pas de choix du site dont la décision incombe au gouvernement.