Les eurodéputés devront peut être prolonger leur séjour à Bruxelles. Près d’un mois après l’effondrement du faux-plafond de l’hémicycle du Parlement de Strasbourg, de nouvelles malfaçons ont été découvertes.
La saga du Parlement européen continue. Celui-ci pourrait tenir sa prochaine session plénière à Bruxelles du 22 au 25 septembre, au lieu de revenir à Strasbourg comme prévu. En effet, de nouvelles malfaçons ont été découvertes dans les locaux strasbourgeois. Certaines planches de rives en bois, destinées à masquer les structures en béton, «ne sont pas fixées dans les règles de l’art». Il en serait de même pour des faux-plafonds métalliques dans les zones déambulatoires. Le bâtiment est actuellement en cours d’examen, jusqu’au 18 septembre. «Il n’est pas exclu que d’autres malfaçons soient découvertes», estime l’eurodéputé vert, Gérard Onesta, vice-président-président du Parlement.
Pour rappel, une partie du faux-plafond de l’hémicycle du Parlement européen de Strasbourg s’est effondrée au début du mois d’août. Près de dix tonnes de gravats ont atterri sur plusieurs rangées de fauteuils. Cet incident serait la cause de «fixations en caoutchouc mal calibrées ou mal posées, qui ont pu mal vieillir depuis dix ans», selon des experts. Le bâtiment, qui abrite l’hémicycle à Strasbourg et accueille chaque mois 3.000 personnes lors des sessions du Parlement, a été construit il y a neuf ans. Il est couvert par une garantie décennale jusqu’à la fin de l’année, d’où la décision prise d’étendre les examens de sécurité à l’ensemble du bâtiment.
Pour rappel, une partie du faux-plafond de l’hémicycle du Parlement européen de Strasbourg s’est effondrée au début du mois d’août. Près de dix tonnes de gravats ont atterri sur plusieurs rangées de fauteuils. Cet incident serait la cause de «fixations en caoutchouc mal calibrées ou mal posées, qui ont pu mal vieillir depuis dix ans», selon des experts. Le bâtiment, qui abrite l’hémicycle à Strasbourg et accueille chaque mois 3.000 personnes lors des sessions du Parlement, a été construit il y a neuf ans. Il est couvert par une garantie décennale jusqu’à la fin de l’année, d’où la décision prise d’étendre les examens de sécurité à l’ensemble du bâtiment.
