Le spécialiste du patrimoine régional note que le château était un "petit pied à terre ne logeant que cinq personnes de qualité". Les domestiques devaient donc vivre dans des dépendances et fermes aujourd'hui disparues, disséminées par-delà le fossé. Jean-Louis Rebière estime qu'une fois stabilisé, l'édifice nécessitera une très longue restauration, d'une dizaine d'années au moins. Dans un premier temps, ce sont les abords du château qui seront donc aménagés en parc municipal avec espace de convivialité et de divertissement ouvert au public. Le bâtiment en lui-même ne sera pas accessible avant longtemps…