Les étages, en revanche, sont "mis à distance de la rue", souligne le studio Vincent Eschalier. Le projet se démarque par de très grandes ouvertes et des géométries variables "venant rythmer les façades", nous a expliqué Nathalie Visnovsky, du cabinet d'architectes. L'idée était d'ouvrir un maximum sur la rue pour laisser entrer la lumière. En effet, sur l'arrière des habitations il n'était pas possible de créer d'ouverture, en raison de la limite de propriété. Les architectes ont alors choisi de mettre des pavés de verre sur l'arrière pour conserver tout de même de la luminosité.
Façades rythmées pour deux maisons parisiennes
Stéphanie Odéon, le 29/08/2016 à 11:36