Celle-ci, qui pourra à terme accueillir environ 1.500 postes de travail, n'est pas sectaire. Pour peu qu'elle opère dans le numérique, toute entreprise est la bienvenue, qu'elle soit une start-up, comme la bordelaise Hello Asso ou une multinationale comme l'éditeur de logiciels Microsoft et le laboratoire pharmaceutique Sanofi. Les acteurs publics et parapublics ont également droit de cité dans cet écosystème, à l'image de l'association French Tech Bordeaux.
A Bordeaux, un centre de tri postal reconverti en "cité numérique"
Christine Lejoux, le 09/12/2019 à 14:45