CONJONCTURE. Si le secteur craint d'être touché par une crise profonde dans les mois à venir, le début de l'année 2025 n'en montre pas encore les signes, avec une activité qui résiste encore et bénéficie de l'élan de la fin 2024.


Janvier 2024 avait été mollasson dans les travaux publics. Les intempéries avaient fait fléchir le volume d'activité et le nombre d'heures travaillées, tandis que les prises de commandes souffraient d'un effet de comparaison peu favorable. Tous les indicateurs étaient ainsi dans le rouge.

 

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Un an plus tard, la donne est bien différente. Sans pour autant qu'elle ne représente un motif de satisfaction pleine et entière pour un secteur habitué à la prudence. Et qui craint un retournement de situation dans le courant de l'année.
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