La Confédération syndicale des familles (CSF) et la Confédération nationale du logement (CNL) ont dénoncé mardi les hausses de loyers des logements dits « intermédiaires » de la société Icade.
La CSF a condamné les hausses de loyers des logements « intermédiaires » pratiquées par la société Icade, filiale immobilière de la Caisse des dépôts (CDC). La Confédération appelle ainsi à ce que les habitations « redeviennent des logements sociaux aux mêmes conditions que les HLM ».
Entrée en bourse la semaine dernière et détenteur de 45.000 logements « intermédiaires », Icade « sinscrit actuellement dans une politique concurrentielle de loyer, et soumet ses locataires à dimportantes hausses de loyers, qui deviennent inaccessibles aux ménages moyens et modestes », déplore la CSF dans un communiqué.
La Confédération regrette dautre part que « les loyers du patrimoine intermédiaires étant libres, tous les ans une augmentation arbitraire est appliquée aux nouveaux baux, sans oublier la seconde augmentation en cours dannée, liée à lindice de référence des loyers (IRL) ».
La CSF appelle alors « tous les locataires à se battre pour que les logements du patrimoine Icade redeviennent des logements sociaux aux mêmes conditions que les HLM » et exige par ailleurs que « lensemble des moyens de la CDC dédiés à lhabitat ( ) soient mis au service des familles modestes et soppose à tout déconventionnement » de ces logements.
Face à ces attaques, Icade affirme que les hausses de loyers « respectent strictement le cadre législatif ». La société stipule par ailleurs que « quand on arrive à un loyer représentant 25% du revenu de la famille, on arrête la hausse, et on ne modifie pas le loyer des personnes de plus de 70 ans ».
Dautre part, suite à la demande de la CSF et de la CNL sur larrêt du déconventionnement voire le reconventionnement des logements, Icade indique quelle sest seulement engagée « auprès délus dIle-de-France à agir en parfaite concertation avec eux, à les aider à se maintenir au dessus du seuil de 20% de logements sociaux (loi SRU) et à leur proposer des espaces fonciers disponibles ».
Entrée en bourse la semaine dernière et détenteur de 45.000 logements « intermédiaires », Icade « sinscrit actuellement dans une politique concurrentielle de loyer, et soumet ses locataires à dimportantes hausses de loyers, qui deviennent inaccessibles aux ménages moyens et modestes », déplore la CSF dans un communiqué.
La Confédération regrette dautre part que « les loyers du patrimoine intermédiaires étant libres, tous les ans une augmentation arbitraire est appliquée aux nouveaux baux, sans oublier la seconde augmentation en cours dannée, liée à lindice de référence des loyers (IRL) ».
La CSF appelle alors « tous les locataires à se battre pour que les logements du patrimoine Icade redeviennent des logements sociaux aux mêmes conditions que les HLM » et exige par ailleurs que « lensemble des moyens de la CDC dédiés à lhabitat ( ) soient mis au service des familles modestes et soppose à tout déconventionnement » de ces logements.
Face à ces attaques, Icade affirme que les hausses de loyers « respectent strictement le cadre législatif ». La société stipule par ailleurs que « quand on arrive à un loyer représentant 25% du revenu de la famille, on arrête la hausse, et on ne modifie pas le loyer des personnes de plus de 70 ans ».
Dautre part, suite à la demande de la CSF et de la CNL sur larrêt du déconventionnement voire le reconventionnement des logements, Icade indique quelle sest seulement engagée « auprès délus dIle-de-France à agir en parfaite concertation avec eux, à les aider à se maintenir au dessus du seuil de 20% de logements sociaux (loi SRU) et à leur proposer des espaces fonciers disponibles ».