Avec un chiffre d'affaires au troisième trimestre en hausse de 72%, le groupe français d'ingénierie pulvérise ses records.
104,8 millions d'euros, c'est le montant du chiffre d'affaires (CA) sur les neufs premiers mois de l'exercice réalisé par le groupe français de sidérurgie. Cela représente une hausse de 53,7%, tandis que le CA du dernier trimestre se monte à 41 millions.
La forte accélération de cette dernière période est due aux consolidations d'ATM et de Solen, au CA de 22 millions d'euros pour l'ingénierie géotechnique, l'analyse de matériaux et les études environnementales, selon un communiqué du groupe. Le CA organique sur neuf mois s'élève à 65,8 millions d'euros, soit une augmentation de 3%. Il se réfère aux différentes sociétés appartenant au groupe au 31 décembre 2000 ainsi qu'aux sociétés développées en interne, comme CEBTP, CATED ou SIPRETEC. Il ne tient pas compte des acquisitions réalisées en 2001 et 2002.
Pour Jean-Luc Schnoebelen, PDG de Ginger, la croissance du groupe, qui vient de renforcer significativement ses positions dans les secteurs de la construction et de l'environnement, " devrait se poursuivre au quatrième trimestre ".
Ginger, l'un des premier groupe indépendant et privé d'ingénierie en France, est constitué de trois pôles de compétences, que sont l'ingénierie de conception, l'expertise et l'ingénierie de maintenance, et de trois secteurs d'activité, que sont l'environnement, la construction et les nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Il avait réalisé en 2001 un CA de 96,4 millions d'euros, en croissance de 45% sur 3 ans.
La forte accélération de cette dernière période est due aux consolidations d'ATM et de Solen, au CA de 22 millions d'euros pour l'ingénierie géotechnique, l'analyse de matériaux et les études environnementales, selon un communiqué du groupe. Le CA organique sur neuf mois s'élève à 65,8 millions d'euros, soit une augmentation de 3%. Il se réfère aux différentes sociétés appartenant au groupe au 31 décembre 2000 ainsi qu'aux sociétés développées en interne, comme CEBTP, CATED ou SIPRETEC. Il ne tient pas compte des acquisitions réalisées en 2001 et 2002.
Pour Jean-Luc Schnoebelen, PDG de Ginger, la croissance du groupe, qui vient de renforcer significativement ses positions dans les secteurs de la construction et de l'environnement, " devrait se poursuivre au quatrième trimestre ".
Ginger, l'un des premier groupe indépendant et privé d'ingénierie en France, est constitué de trois pôles de compétences, que sont l'ingénierie de conception, l'expertise et l'ingénierie de maintenance, et de trois secteurs d'activité, que sont l'environnement, la construction et les nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Il avait réalisé en 2001 un CA de 96,4 millions d'euros, en croissance de 45% sur 3 ans.
