CONJONCTURE. Avec à peine 2.500 ventes, la chute d'activité a fortement touché les promoteurs toulousains. Et la reprise attendue en 2024 ne suffit pas à les rassurer sur le long terme.
Devenu le deuxième marché immobilier de France après la région parisienne, Toulouse n'échappe pas à la panne du logement neuf. Avec à peine 2.515 ventes et 2.936 logements mis sur le marché dans l'aire urbaine, 2023 est tout simplement le pire exercice pour les promoteurs de la Ville rose en vingt ans. Même la crise des subprimes en 2008 et la pandémie en 2020 n'avaient pas fait chuter l'activité aussi brutalement. "Les volumes ont été
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