La baisse du taux des crédits immobiliers engendre un endettement des ménages français en augmentation, selon lenquête annuelle de lObservatoire de lendettement des ménages.
A la fin de lannée 2004, 50,2% des ménages français détenaient au moins un crédit contre 49,7% à fin 2003. Ce chiffre marque une rupture par rapport à la baisse observée depuis 2001.
Lan dernier, 29,1% des ménages possédaient au moins un crédit immobilier contre 28,5% en 2003. Une augmentation que létude explique par «des conditions de crédit particulièrement attractives, combinées à lallongement de la durée des crédits (15,9 ans en 2004 contre 11,1 en 1992) qui ont réduit les incertitudes de la conjonctures actuelle».
Quant au crédit de trésorerie (pour des biens de consommation courante), il continue à reculer (33 % des ménages en 2004 contre 35,4 % en 2001).
Par ailleurs, cette enquête révèle que les jeunes de moins de 30 ans ont été plus nombreux à recourir au crédit en 2004, tant en crédit immobilier quen crédit de consommation (55,7% contre 51% en 2003). A linverse, les ménages de 65 ans et plus sendettent moins : 21,7% détiennent un crédit en 2004, contre 22,3% en 2003.
Ces évolutions observées en 2004 devraient se confirmer en 2005 et dans les années à venir. A fin 2004, 5,5% des ménages déclaraient ainsi avoir lintention de recourir à un crédit immobilier dans les six mois, contre 5,3% il y a un an.
Parmi ces ménages, 44,7% dentre eux ne sont pas endettés. Ces ménages qui envisagent de souscrire des crédits immobiliers considèrent que leur situation financière sest nettement moins dégradée récemment que celle des autres ménages (20,4% contre 34,6%). Ils estiment que leur «budget est suffisant» et quils sont à laise pour 71,6% (contre 58,6 % pour lensemble des ménages).
Enfin, la tendance à la baisse pour les biens de consommations se confirme également. En effet, seuls 4,6% des ménages ont lintention de recourir à un crédit de trésorerie contre 6,1 % en 2003.
Lan dernier, 29,1% des ménages possédaient au moins un crédit immobilier contre 28,5% en 2003. Une augmentation que létude explique par «des conditions de crédit particulièrement attractives, combinées à lallongement de la durée des crédits (15,9 ans en 2004 contre 11,1 en 1992) qui ont réduit les incertitudes de la conjonctures actuelle».
Quant au crédit de trésorerie (pour des biens de consommation courante), il continue à reculer (33 % des ménages en 2004 contre 35,4 % en 2001).
Par ailleurs, cette enquête révèle que les jeunes de moins de 30 ans ont été plus nombreux à recourir au crédit en 2004, tant en crédit immobilier quen crédit de consommation (55,7% contre 51% en 2003). A linverse, les ménages de 65 ans et plus sendettent moins : 21,7% détiennent un crédit en 2004, contre 22,3% en 2003.
Ces évolutions observées en 2004 devraient se confirmer en 2005 et dans les années à venir. A fin 2004, 5,5% des ménages déclaraient ainsi avoir lintention de recourir à un crédit immobilier dans les six mois, contre 5,3% il y a un an.
Parmi ces ménages, 44,7% dentre eux ne sont pas endettés. Ces ménages qui envisagent de souscrire des crédits immobiliers considèrent que leur situation financière sest nettement moins dégradée récemment que celle des autres ménages (20,4% contre 34,6%). Ils estiment que leur «budget est suffisant» et quils sont à laise pour 71,6% (contre 58,6 % pour lensemble des ménages).
Enfin, la tendance à la baisse pour les biens de consommations se confirme également. En effet, seuls 4,6% des ménages ont lintention de recourir à un crédit de trésorerie contre 6,1 % en 2003.