Filiale des Caisses dEpargne, le Crédit Foncier a subi une baisse de 24,2% de son bénéfice net part du groupe en 2004 à 232 millions d'euros, contre 306 millions d'euros en 2003. Résultats en données proforma intégrant la fusion avec la société Entenial.
Le groupe a enregistré une hausse de 2,4% de son produit net bancaire (PNB) à 851 millions deuros, contre 831 millions deuros un an plus tôt. Hors exceptionnels, le PNB progresse de 6%, précise-t-il. Racheté en 1999 par les Caisses d'Epargne, le Crédit Foncier a acquis Entenial en 2004 pour 592 millions d'euros, avec une fusion juridique et opérationnelle qui sera «effective au 1er juin 2005». Le résultat 2003 avait bénéficié d'éléments exceptionnels positifs dont 223 millions d'euros tirés de la cession du siège du groupe.
En 2004, les frais généraux du CFF ont progressé de 11,7% par rapport à l'an dernier à 630 millions deuros du fait notamment de «dépenses engagées dans les projets d'acquisition et de réorganisation interne liée à l'intégration d'Entenial», explique le groupe. Par conséquent, le résultat brut d'exploitation (RBE) a reculé à 221 M EUR, contre 267 millions deuros en 2003, et le coefficient d'exploitation (critère de rentabilité opérationnelle) s'est établi à 74%, contre 67,9% en 2003. «Des reprises de provisions tant sur le financement des particuliers que des entreprises» permet d'afficher un coût du risque positif de 47 millions d'euros, contre 16 millions deuros en 2003.
Le ratio de solvabilité atteint 10,09% fin 2004 dont 7,82% de noyau dur, tandis que la rentabilité sur fonds propres s'établit à 14,6%. La production totale de prêts s'est élevée à 10,057 milliards deuros en 2004, contre 8,670 milliards deuros en 2003 (en données proforma) dont 7,568 milliards deuros en prêts spécialisés aux particuliers (5,980 milliards deuros en 2003) et 2,489 milliards deuros en prêts spécialisés aux professionnels (2,690 milliards en 2003). Au 31 décembre 2004, l'encours total de prêts ressortait à 45,495 milliards deuros (43,325 milliards deuros à fin 2003), dont 28,760 milliards deuros pour les particuliers et 13,288 milliards deuros pour les professionnels.
En 2004, les frais généraux du CFF ont progressé de 11,7% par rapport à l'an dernier à 630 millions deuros du fait notamment de «dépenses engagées dans les projets d'acquisition et de réorganisation interne liée à l'intégration d'Entenial», explique le groupe. Par conséquent, le résultat brut d'exploitation (RBE) a reculé à 221 M EUR, contre 267 millions deuros en 2003, et le coefficient d'exploitation (critère de rentabilité opérationnelle) s'est établi à 74%, contre 67,9% en 2003. «Des reprises de provisions tant sur le financement des particuliers que des entreprises» permet d'afficher un coût du risque positif de 47 millions d'euros, contre 16 millions deuros en 2003.
Le ratio de solvabilité atteint 10,09% fin 2004 dont 7,82% de noyau dur, tandis que la rentabilité sur fonds propres s'établit à 14,6%. La production totale de prêts s'est élevée à 10,057 milliards deuros en 2004, contre 8,670 milliards deuros en 2003 (en données proforma) dont 7,568 milliards deuros en prêts spécialisés aux particuliers (5,980 milliards deuros en 2003) et 2,489 milliards deuros en prêts spécialisés aux professionnels (2,690 milliards en 2003). Au 31 décembre 2004, l'encours total de prêts ressortait à 45,495 milliards deuros (43,325 milliards deuros à fin 2003), dont 28,760 milliards deuros pour les particuliers et 13,288 milliards deuros pour les professionnels.