Suite à la parution du décret sur les nouveaux tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque, les acteurs de cette filière se sont fédérés et ont donné naissance, il y a deux semaines, au SYNAIP, le syndicat national des installateurs photovoltaïques.
Le SYNAIP, Syndicat national des installateurs photovoltaïques, est né il y a 2 semaines, de la volonté des installateurs et fabricants photovoltaïques de fédérer les acteurs de la filière suite à la parution du décret sur les nouveaux tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque, incluant une rétroactivité au 1er novembre.
Loin de vouloir conserver une activité jusque-là fortement subventionnée, ce syndicat engage des discussions avec l'Elysée et le ministère de l'Ecologie pour que la spéculation cesse, tout en préservant l'emploi et l'activité économique de la filière photovoltaïque.
En effet, les nouveaux tarifs de rachat «ont mis trop de temps à paraître et cela a permis à des investisseurs de spéculer», explique ce syndicat, qui se dit d'accord avec la baisse des tarifs d'achat qui devaient être mis en concordance avec la forte baisse des prix des matériels, mais souhaite également que des mesures soient prises par l'Elysée contre les spéculateurs et non contre les propriétaires.
Toute la profession est donc dans l'attente des propositions gouvernementales qui seront faites à l'issue de la réunion du Comité Supérieur de l'Energie qui devrait avoir lieu le 9 février.
Loin de vouloir conserver une activité jusque-là fortement subventionnée, ce syndicat engage des discussions avec l'Elysée et le ministère de l'Ecologie pour que la spéculation cesse, tout en préservant l'emploi et l'activité économique de la filière photovoltaïque.
En effet, les nouveaux tarifs de rachat «ont mis trop de temps à paraître et cela a permis à des investisseurs de spéculer», explique ce syndicat, qui se dit d'accord avec la baisse des tarifs d'achat qui devaient être mis en concordance avec la forte baisse des prix des matériels, mais souhaite également que des mesures soient prises par l'Elysée contre les spéculateurs et non contre les propriétaires.
Toute la profession est donc dans l'attente des propositions gouvernementales qui seront faites à l'issue de la réunion du Comité Supérieur de l'Energie qui devrait avoir lieu le 9 février.