A l'issue d'une visite d'inspection à Athènes, le Comité international olympique estime que les travaux pourront être terminés à temps. Un feu vert pour l'ambitieux toit en verre du stade olympique de Santiago Calatrava a même été donné.
Toutes les installations des jeux Olympiques de 2004 à Athènes peuvent être prêtes à temps, mais les organisateurs n'ont aucune marge de manoeuvre pour certaines d'entre elles, a affirmé jeudi le président de la commission de coordination du Comité international olympique, Denis Oswald, à l'issue d'une visite d'inspection de trois jours.
"Si quelque chose d'inattendu en dehors de notre contrôle venait à arriver, certains des projets seraient en danger", a dit M. Oswald, citant parmi ses préoccupations le stade de football de Karaiskaki, le site de Peristeri (boxe), la salle couverte de Hellenikon (basket-ball et handball) et le parc olympique d'OAKA, où se trouve notamment le stade olympique.
"Tout ce qui doit être réalisé dans les moins de 500 jours qui restent (avant le début des compétitions) est encore faisable", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse au siège du comité d'organisation des JO d'Athènes (ATHOC). Mais "le succès où l'échec des JO dépendra de ce qui sera réalisé dans les quelque 500 jours qui restent", a-t-il ajouté.
M. Oswald, qui a souligné que la préparation des JO en était "à un stade crucial", a aussi confirmé qu'un feu vert avait été donné pour l'ambitieux toit en verre du stade olympique, l'un des projets-phares des Jeux de 2004.
Cette dernière annonce met officiellement fin à des mois de suspense concernant le projet de l'architecte espagnol Santiago Calatrava, une toiture formée d'arcs doubles métalliques soutenant une structure de verre, dont le sort restait suspendu à une décision officielle définitive.
Mardi, à l'occasion du premier jour de la visite de contrôle de la commission de coordination à Athènes, le gouvernement grec avait "confirmé" la réalisation de ce projet, indiquant que les travaux étaient "un peu en avance sur le calendrier".
"Si quelque chose d'inattendu en dehors de notre contrôle venait à arriver, certains des projets seraient en danger", a dit M. Oswald, citant parmi ses préoccupations le stade de football de Karaiskaki, le site de Peristeri (boxe), la salle couverte de Hellenikon (basket-ball et handball) et le parc olympique d'OAKA, où se trouve notamment le stade olympique.
"Tout ce qui doit être réalisé dans les moins de 500 jours qui restent (avant le début des compétitions) est encore faisable", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse au siège du comité d'organisation des JO d'Athènes (ATHOC). Mais "le succès où l'échec des JO dépendra de ce qui sera réalisé dans les quelque 500 jours qui restent", a-t-il ajouté.
M. Oswald, qui a souligné que la préparation des JO en était "à un stade crucial", a aussi confirmé qu'un feu vert avait été donné pour l'ambitieux toit en verre du stade olympique, l'un des projets-phares des Jeux de 2004.
Cette dernière annonce met officiellement fin à des mois de suspense concernant le projet de l'architecte espagnol Santiago Calatrava, une toiture formée d'arcs doubles métalliques soutenant une structure de verre, dont le sort restait suspendu à une décision officielle définitive.
Mardi, à l'occasion du premier jour de la visite de contrôle de la commission de coordination à Athènes, le gouvernement grec avait "confirmé" la réalisation de ce projet, indiquant que les travaux étaient "un peu en avance sur le calendrier".
