Le danger que représente le mauvais état d'un barrage hydraulique situé en Corée du Nord a conduit la Corée du Sud a entreprendre des travaux dans la partie de son territoire directement menacée afin de parer à toute éventualité.
Ouvriers et ingénieurs à l'aide de camions et d'engins lourds ont commencé ces travaux préventifs en dépit des dénégations véhémentes du Nord qui affirme que le barrage Imnam ne représente aucun danger.
"Nos inquiétudes n'ont jamais été dissipées. Nous prendrons toutes les mesures préventives ainsi que nous l'avons annoncé", a affirmé le porte-parole du ministère.
L'avenir de cet ouvrage "endommagé" partiellement constitue la préoccupation majeure du ministère sud-coréen de la Construction, qui craint des inondations engendrées par un effondrement.
Le ministère sud-coréen a annoncé qu'il va vider deux barrages sud-coréens situés en contrebas de Imnam afin de prévenir les conséquences de la catastrophe, si elle se produisait.
Les autorités ont décidé de bétonner avant la fin juin les parois du barrage de la Paix situé juste en dessous du Imnam, afin de leur permettre de résister à la force du flot torrentiel des eaux. Pour mener à bien les travaux, des routes d'accès à ce barrage sont en construction.
Un porte-parole du ministère nord-coréen de la protection de l'environnement a accusé lundi le Sud de "mensonge absolu" concernant le barrage Imnam. "La sécurité du barrage est parfaitement garantie à la fois sur le plan scientifique et technologique" a-t-il affirmé.
Cette déclaration a été faite le jour même où le Nord a annoncé l'annulation des discussions économiques inter-coréennes qui devaient débuter mardi à Séoul.
La décision de Pyongyang avait été officiellement motivée par les "déclarations imprudentes", du ministre sud-coréens des Affaires étrangères mais certains spécialistes estiment que cette affaire du barrage pourrait avoir été le véritable motif à ce refus.
Théoriquement les deux Corées sont toujours en guerre depuis la fin des combats en 1953, le conflit s'étant arrêté sur un simple armistice.
"Nos inquiétudes n'ont jamais été dissipées. Nous prendrons toutes les mesures préventives ainsi que nous l'avons annoncé", a affirmé le porte-parole du ministère.
L'avenir de cet ouvrage "endommagé" partiellement constitue la préoccupation majeure du ministère sud-coréen de la Construction, qui craint des inondations engendrées par un effondrement.
Le ministère sud-coréen a annoncé qu'il va vider deux barrages sud-coréens situés en contrebas de Imnam afin de prévenir les conséquences de la catastrophe, si elle se produisait.
Les autorités ont décidé de bétonner avant la fin juin les parois du barrage de la Paix situé juste en dessous du Imnam, afin de leur permettre de résister à la force du flot torrentiel des eaux. Pour mener à bien les travaux, des routes d'accès à ce barrage sont en construction.
Un porte-parole du ministère nord-coréen de la protection de l'environnement a accusé lundi le Sud de "mensonge absolu" concernant le barrage Imnam. "La sécurité du barrage est parfaitement garantie à la fois sur le plan scientifique et technologique" a-t-il affirmé.
Cette déclaration a été faite le jour même où le Nord a annoncé l'annulation des discussions économiques inter-coréennes qui devaient débuter mardi à Séoul.
La décision de Pyongyang avait été officiellement motivée par les "déclarations imprudentes", du ministre sud-coréens des Affaires étrangères mais certains spécialistes estiment que cette affaire du barrage pourrait avoir été le véritable motif à ce refus.
Théoriquement les deux Corées sont toujours en guerre depuis la fin des combats en 1953, le conflit s'étant arrêté sur un simple armistice.