UFC-Que-choisir émet une mise en garde sur l'installation de la fibre optique dans les immeubles. Face à une réglementation encore floue, l'association préconise d'attendre une clarification de la législation avant de s'équiper.
Free, Orange, Neuf, Numéricâble? Ils sont quatre opérateurs à s'être lancés sur le créneau du très haut-débit, une connexion par la fibre optique.
Et pour conquérir le marché, ils n'hésitent pas à proposer aux copropriétés une installation gratuite, se garantissant ainsi l'équipement de tout l'immeuble. Car c'est bien là que le bât blesse pour Que choisir. L'équipement en fibre optique nécessitant de lourds travaux explique l'association, «le FAI (fournisseur d'accès internet) qui déploie en premier son réseau dans une copropriété, a de fortes chances d'être le seul à le faire.» Ce qui reviendrait poursuit-elle à une situation de «monopole», donc une liberté de «pratiquer les prix qu'il souhaite et si le consommateur n'est pas satisfait et souhaite changer d'opérateur, il devra déménager !»
Que choisir s'inquiète également du fait qu'il n'existe pas de normalisation des installations : rien ne permet donc de dire si un opérateur pourra utiliser la technologie installée par son concurrent.
L'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) travaillant à l'encadrement de cette activité, il est donc conseillé d'attendre avant de se lancer.
Et pour conquérir le marché, ils n'hésitent pas à proposer aux copropriétés une installation gratuite, se garantissant ainsi l'équipement de tout l'immeuble. Car c'est bien là que le bât blesse pour Que choisir. L'équipement en fibre optique nécessitant de lourds travaux explique l'association, «le FAI (fournisseur d'accès internet) qui déploie en premier son réseau dans une copropriété, a de fortes chances d'être le seul à le faire.» Ce qui reviendrait poursuit-elle à une situation de «monopole», donc une liberté de «pratiquer les prix qu'il souhaite et si le consommateur n'est pas satisfait et souhaite changer d'opérateur, il devra déménager !»
Que choisir s'inquiète également du fait qu'il n'existe pas de normalisation des installations : rien ne permet donc de dire si un opérateur pourra utiliser la technologie installée par son concurrent.
L'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) travaillant à l'encadrement de cette activité, il est donc conseillé d'attendre avant de se lancer.