Le groupe d'ingénierie a été désigné pour réaliser une expertise technique dans le cadre d'un projet d'urbanisation de 11 villes en Mauritanie.
Cette étude devrait permettre à ces communes - de 8.000 à 61.000 habitants - de résoudre les problèmes dus à la surpopulation, d'améliorer les conditions de vie des habitants et de participer à un aménagement plus équilibré du territoire.
L'urbanisation très rapide que connaît la Mauritanie - le taux d'urbanisation est passée de 4% en 1962 à 62% en 1997 à la suite d'un exode rural engendré par la sécheresse du Sahel - a provoqué ou aggravé les problèmes environnementaux propres à chaque ville: problèmes de salinité, ensablement, assainissement, traitement des déchets...
La situation de ces villes va donc être passée au crible par une équipe biculturelle d'ingénieurs, d'environnementalistes, de juristes et d'économistes à laquelle ont été associés deux architectes urbanistes - Guillaume De Monfreid et Rachid Taleb - et un bureau d'études mauritanien.
La mission de cette équipe va consister à concevoir les projets, à proposer les outils juridiques et économiques permettant leur mise en place et garantissant les conditions de leur fonctionnement futur et enfin à coordonner les travaux. La tâche des experts locaux sera de recueillir les données de base spécifiques à chaque ville et d'assister le premier groupe dans ses missions de conception et de concertation.
Les études concernent :
- l'urbanisme et les schémas de structure des 11 villes, les études préliminaires d'aménagement sur les quartiers existants et sur les nouvelles zones à urbaniser.
- Les stratégies d'assainissement (déchets solides, eaux usées, eaux pluviales)
- Le programme d'appui institutionnel.
Deux séries de missions d'investigation sont envisagées pour chaque ville : les missions d'enquête et les missions d'expertises qui sont destinées à définir avec les acteurs locaux les problématiques principales, le choix de développement, les plan-programmes urbains et les quartiers nécessitant des interventions particulières.
Une troisième série de missions est prévue pour chaque ville lors de la validation des résultats avant l'élaboration des documents finaux.
L'étude - financée par un don du gouvernement japonais et géré par la Banque Mondiale - doit être bouclée avant la fin du premier semestre 2001.
L'urbanisation très rapide que connaît la Mauritanie - le taux d'urbanisation est passée de 4% en 1962 à 62% en 1997 à la suite d'un exode rural engendré par la sécheresse du Sahel - a provoqué ou aggravé les problèmes environnementaux propres à chaque ville: problèmes de salinité, ensablement, assainissement, traitement des déchets...
La situation de ces villes va donc être passée au crible par une équipe biculturelle d'ingénieurs, d'environnementalistes, de juristes et d'économistes à laquelle ont été associés deux architectes urbanistes - Guillaume De Monfreid et Rachid Taleb - et un bureau d'études mauritanien.
La mission de cette équipe va consister à concevoir les projets, à proposer les outils juridiques et économiques permettant leur mise en place et garantissant les conditions de leur fonctionnement futur et enfin à coordonner les travaux. La tâche des experts locaux sera de recueillir les données de base spécifiques à chaque ville et d'assister le premier groupe dans ses missions de conception et de concertation.
Les études concernent :
- l'urbanisme et les schémas de structure des 11 villes, les études préliminaires d'aménagement sur les quartiers existants et sur les nouvelles zones à urbaniser.
- Les stratégies d'assainissement (déchets solides, eaux usées, eaux pluviales)
- Le programme d'appui institutionnel.
Deux séries de missions d'investigation sont envisagées pour chaque ville : les missions d'enquête et les missions d'expertises qui sont destinées à définir avec les acteurs locaux les problématiques principales, le choix de développement, les plan-programmes urbains et les quartiers nécessitant des interventions particulières.
Une troisième série de missions est prévue pour chaque ville lors de la validation des résultats avant l'élaboration des documents finaux.
L'étude - financée par un don du gouvernement japonais et géré par la Banque Mondiale - doit être bouclée avant la fin du premier semestre 2001.
