Un des défis rencontrés a été de construire un ouvrage adapté à son environnement. En effet, la passerelle est située en milieu maritime. Elle se doit donc d'être résistante aux marées et aux tempêtes. "Nous avions bien précisés dans notre cahier des charges que la passerelle pouvait être soumise à des vents forts et être immergée en cas de marées importantes", explique ainsi Laurence Cressot.
De plus, la passerelle est implantée sur un site accueillant une course de bateaux, la Transat Jacques Vabre, organisée tous les deux ans. Elle devait donc permettre au bassin Paul Vatine de rester un lieu privilégié de cette course. "200 bateaux sont partis dans la course lors de la dernière édition", précise Laurence Cressot. "Il fallait donc que la passerelle puisse les laisser passer."
Enfin, le chantier en lui-même a dû être adapté à l'environnement du bassin. Les opérations ont en effet été menées dans un environnement contraint, notamment avec la proximité d'une crèche. "Il y a eu un véritable challenge pour réaliser le chantier en pleine sécurité, ce qui a été le cas", affirme ainsi Laurence Cressot.
