En dépit des signes de ralentissement économique persistants, le secteur de la construction tient bon. Le ministère de l'Equipement prévoit même une croissance d'environ 1,3% en 2002.
Cette progression du secteur est plus faible que celle constatée en 2001 (+2%). Les professionnels du secteur se déclarent toutefois rassurés car le faible niveau des taux d'intérêt constitue toujours un facteur déterminant pour les achats de logements neufs. D'autre part les nombreux projets d'infrastructures en prévision sont de bon augure pour l'avenir des travaux publics.
Autres facteurs positifs, le plan de relance de construction de logements sociaux va être un des éléments moteur de l'activité du logement neuf.
"En 2002, nous pourrions même atteindre 60.000 nouvelles HLM au lieu des 55.000 prévues", a indiqué récemment la secrétaire d'Etat au Logement, Marie-Noëlle Lienemann. En 2001, 50.000 nouvelles HLM devraient sortir de terre après des cadences annuelles d'environ 40.000 ces dernières années.
Quant aux entreprises, même si elles sont plus frileuses à investir dans la construction de nouveaux locaux ou la rénovation de bâtiments, elles seront malgré tout obligées d'y consacrer une part de leur argent pour maintenir leur compétitivité, indiquent les spécialistes du secteur.
L'autre pan de l'activité bâtiment, l'entretien et la rénovation, qui a été fortement dopé depuis deux ans par la baisse de la TVA de 19,6% à 5,5%, devrait continuer à être bien orienté. Le maintien de ce taux réduit doit être avalisé par Bruxelles l'année prochaine, mais les milieux du bâtiment se montrent confiants.
Dans cet environnement, apparaissent quelques zones d'ombre qui pourraient s'étendre si le chômage continuait à remonter. Les effets pourraient se faire sentir sur la construction de logements neufs, notamment dans le privé et au niveau des maisons individuelles.
Quant aux travaux publics, face au discours traditionnellement pessimiste de la Fédération nationale des travaux publics dénonçant le faible niveau des investissements, les prévisions du gouvernement sont plutôt rassurantes avec le lancement prévu de plusieurs chantiers d'envergure (viaduc de Millau, Port 2000 au Havre, TGV-Est) et la montée en puissance des contrats de plan Etat-Régions.
Autres facteurs positifs, le plan de relance de construction de logements sociaux va être un des éléments moteur de l'activité du logement neuf.
"En 2002, nous pourrions même atteindre 60.000 nouvelles HLM au lieu des 55.000 prévues", a indiqué récemment la secrétaire d'Etat au Logement, Marie-Noëlle Lienemann. En 2001, 50.000 nouvelles HLM devraient sortir de terre après des cadences annuelles d'environ 40.000 ces dernières années.
Quant aux entreprises, même si elles sont plus frileuses à investir dans la construction de nouveaux locaux ou la rénovation de bâtiments, elles seront malgré tout obligées d'y consacrer une part de leur argent pour maintenir leur compétitivité, indiquent les spécialistes du secteur.
L'autre pan de l'activité bâtiment, l'entretien et la rénovation, qui a été fortement dopé depuis deux ans par la baisse de la TVA de 19,6% à 5,5%, devrait continuer à être bien orienté. Le maintien de ce taux réduit doit être avalisé par Bruxelles l'année prochaine, mais les milieux du bâtiment se montrent confiants.
Dans cet environnement, apparaissent quelques zones d'ombre qui pourraient s'étendre si le chômage continuait à remonter. Les effets pourraient se faire sentir sur la construction de logements neufs, notamment dans le privé et au niveau des maisons individuelles.
Quant aux travaux publics, face au discours traditionnellement pessimiste de la Fédération nationale des travaux publics dénonçant le faible niveau des investissements, les prévisions du gouvernement sont plutôt rassurantes avec le lancement prévu de plusieurs chantiers d'envergure (viaduc de Millau, Port 2000 au Havre, TGV-Est) et la montée en puissance des contrats de plan Etat-Régions.
