Trois semaines avant l'expiration du délai pour le dépôt d'offres, une trentaine de groupes, dont Lafarge, Enel, E.ON, ont exprimé leur intérêt pour la construction des 3e et 4e tranches de la centrale nucléaire de Cernavoda dans le sud-est de la Roumanie.
Parmi les trente groupes intéressés figurent le français Lafarge, les italiens Enel et Ansaldo (qui avait construit avec le canadien EACL les deux premiers réacteurs), les allemands E.ON et RWE, le tchèque CEZ, ArcelorMittal, ainsi que deux banques françaises, Paribas et Société générale, selon la même source.
Par ailleurs, Nuclearelectrica a indiqué avoir retenu les offres déposées déjà par treize compagnies, qui avaient répondu à l'appel lancé l'année dernière par Bucarest, avant que la procédure ne soit reprise à zéro, suite au changement de la stratégie de financement de ce projet.
Les deux tranches de la centrale devraient être mises en fonction à l'horizon 2014. Comportant cinq réacteurs au total, la centrale de Cernavoda utilise le procédé canadien Candu 6 et fonctionne avec de l'uranium naturel et de l'eau lourde. Deux réacteurs ont jusqu'ici été mis en service -le second en août dernier-, fournissant ensemble environ 17-18% des besoins d'électricité du pays.
Par ailleurs, Nuclearelectrica a indiqué avoir retenu les offres déposées déjà par treize compagnies, qui avaient répondu à l'appel lancé l'année dernière par Bucarest, avant que la procédure ne soit reprise à zéro, suite au changement de la stratégie de financement de ce projet.
Les deux tranches de la centrale devraient être mises en fonction à l'horizon 2014. Comportant cinq réacteurs au total, la centrale de Cernavoda utilise le procédé canadien Candu 6 et fonctionne avec de l'uranium naturel et de l'eau lourde. Deux réacteurs ont jusqu'ici été mis en service -le second en août dernier-, fournissant ensemble environ 17-18% des besoins d'électricité du pays.