Après une année 2005 difficile, la consommation des ménages a connu une légère embellie en 2005. Une amélioration tirée entre autres par les dépenses en biens d'équipements du logement !
En janvier 2006, les dépenses des Français en produits manufacturés ? qui représentent environ un quart de leur consommation globale ? ont progressé de 0,9 % en janvier. Et ce, après une baisse de 0,5 % le mois précédent. Les dépenses en produits manufacturés s'inscrivent ainsi en hausse de 2,5% par rapport à janvier 2005 ! Hors automobile et s produits médicaux, la hausse s'établit même à 1,8 % en janvier 2005, contre un recul 1,1 % en décembre 2005.
Si les dépenses de consommations en biens durables ont chuté de 0,4 % en janvier, les dépenses en biens d'équipement du logement ont quant à elles poursuivi leur ascension, avec une hausse de 1,5 % en janvier, après une progression de 2,8 % en décembre. Une hausse qui s'explique par un marché du logement porteur. Mais la hausse globale est surtout due à un rebond du secteur textile-cuir, à +3,4% en janvier, contre -4,2 % en 2005.
Si l'ensemble de ces résultats a été accueilli avec satisfaction de la part des économistes, la prudence reste de mise. Selon Marc Touati, de Natexis de Banques Populaires, qui salue le rebond de la janvier «L'euphorie n'est toujours pas de mise». Et Nicolas Claquin de HSBC de renchérir : «Cela reste fragile».
Si les dépenses de consommations en biens durables ont chuté de 0,4 % en janvier, les dépenses en biens d'équipement du logement ont quant à elles poursuivi leur ascension, avec une hausse de 1,5 % en janvier, après une progression de 2,8 % en décembre. Une hausse qui s'explique par un marché du logement porteur. Mais la hausse globale est surtout due à un rebond du secteur textile-cuir, à +3,4% en janvier, contre -4,2 % en 2005.
Si l'ensemble de ces résultats a été accueilli avec satisfaction de la part des économistes, la prudence reste de mise. Selon Marc Touati, de Natexis de Banques Populaires, qui salue le rebond de la janvier «L'euphorie n'est toujours pas de mise». Et Nicolas Claquin de HSBC de renchérir : «Cela reste fragile».
