Grâce à l'extension, "les espaces ont été multipliés par cinq", chiffre Tristan Le Lous. "Nous avons utilisé l'emprise foncière de l'ancien établissement hôtelier, afin de ne pas détruire et intégrer les éléments neufs dans les constructions anciennes." L'homme souhaitait que les façades de cet ensemble des années 1990 soient conservées. "Cela ne perturbe pas l'architecture originelle du site." La cour de l'hôtel a notamment été utilisée pour obtenir des espaces supplémentaires. "Les volumes de l'extension sont en élévation, couverts de toits à deux pentes dont la hauteur du faîtage et la taille des volumes ne dépassent pas celles du château", précise Philippe Madec.
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