Au final, c'est un chantier colossal placé sous la direction des monuments historiques mobilisant au total 19 architectes, dont 3 du Patrimoine, 21 bureaux d'études et 250 ouvriers.
Vers le respect de l'esthétique originelle
Dans le respect de l'esthétique originelle, ALEP Architectes et SUD Architectes sont parvenus à conserver l'âme industrielle du bâtiment. "On a cherché à montrer sa structure tout le temps pour que les plateaux, les plafonds et les dalles soient toujours visibles, explique Philippe Allart, d'ALEP Architectes. Et la difficulté a été de passer d'un garage à un immeuble de bureaux high-tech tout en préservant l'âme du lieu".