Des bailleurs de fonds publics se sont engagés, lors dune réunion à Pointe-Noire (Congo), à financer le Programme dinvestissements prioritaires (PIP) du Port autonome de Pointe-Noire (PAPN). Ils souhaitent apporter entre 29 et 35 milliards de francs CFA (48,3 à 58,3 millions deuros) à ce programme, estimé à 60 milliards de francs CFA (91,4 millions deuros).
Une large partie du programme de réhabilitation des installations du PAPN va être financée, sous forme de prêts, par plusieurs bailleurs de fonds publics.
Réunies à Pointe-Noire, capitale économique du Congo, lagence française de développement (AFD), la Banque européenne dinvestissement (BEI) et la Banque de développement des Etats de lAfrique centrale (BDEAC) ont déclaré vouloir financer le PIP à hauteur de 29 à 35 milliards de francs CFA, sur un total de 60 milliards de francs CFA (91,4 millions deuros).
Les bailleurs de fonds ont publié à lissue dune table ronde un texte qui mentionne que « lAFD contribuera à hauteur de 13 milliards de francs CFA (19,8 millions deuros), la BEI de 10 à 16 milliards (de 15,2 à 24,4 millions deuros) et la BDEAC de 6 milliards (9,1 millions deuros) ».
Les conditions financières donneront ainsi « lieu à des accords de prêts séparés entre la direction du port, géré par lEtat congolais, et les bailleurs, qui fixeront les conditions des prêts ». Le texte souligne par ailleurs que le solde du PIP devrait être apporté par des bailleurs privés.
Olivier Ratheaux, représentant de lAFD, a estimé que le PIP est « dun grand intérêt économique pour le Congo et institutionnel pour les opérateurs économiques » car il prévoit la création dun guichet unique pour toutes les opérations administratives. Le prolongement de la digue principale pour limiter les risques densablement du chenal daccès au port, laménagement et léquipement dun parc à conteneurs, la création dun « terre-plein » pour le stockage du bois et la réhabilitation des réseaux deau et délectricité du port figurent également au programme dinvestissement.
Réunies à Pointe-Noire, capitale économique du Congo, lagence française de développement (AFD), la Banque européenne dinvestissement (BEI) et la Banque de développement des Etats de lAfrique centrale (BDEAC) ont déclaré vouloir financer le PIP à hauteur de 29 à 35 milliards de francs CFA, sur un total de 60 milliards de francs CFA (91,4 millions deuros).
Les bailleurs de fonds ont publié à lissue dune table ronde un texte qui mentionne que « lAFD contribuera à hauteur de 13 milliards de francs CFA (19,8 millions deuros), la BEI de 10 à 16 milliards (de 15,2 à 24,4 millions deuros) et la BDEAC de 6 milliards (9,1 millions deuros) ».
Les conditions financières donneront ainsi « lieu à des accords de prêts séparés entre la direction du port, géré par lEtat congolais, et les bailleurs, qui fixeront les conditions des prêts ». Le texte souligne par ailleurs que le solde du PIP devrait être apporté par des bailleurs privés.
Olivier Ratheaux, représentant de lAFD, a estimé que le PIP est « dun grand intérêt économique pour le Congo et institutionnel pour les opérateurs économiques » car il prévoit la création dun guichet unique pour toutes les opérations administratives. Le prolongement de la digue principale pour limiter les risques densablement du chenal daccès au port, laménagement et léquipement dun parc à conteneurs, la création dun « terre-plein » pour le stockage du bois et la réhabilitation des réseaux deau et délectricité du port figurent également au programme dinvestissement.