Nouveau ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables (Medad), Jean-Louis Borloo sest félicité dêtre à la tête dun ministère «révolutionnaire» organisé autour de cinq pôles : lutte contre le réchauffement climatique, transports, biodiversité, aménagement durable de l'espace, et prévention des risques techniques et sanitaires.
Fruit d'une «énorme réforme de l'Etat», le Medad est à même de placer l'environnement au centre de l'action de l'Etat, a commenté vendredi, Jean-Louis Borloo. «La France a sans doute la première organisation en Europe aussi révolutionnaire, aussi volontariste», a-t-il affirmé.
En effet, au sein du Medad, on retrouvera les directions de l'eau, de l'énergie, des transports, des routes, de la mer, de l'urbanisme et de l'habitat. Le ministère sera organisé autour de cinq pôles : lutte contre le réchauffement climatique, transports, biodiversité, aménagement durable de l'espace, et prévention des risques techniques et sanitaires. «Ce n'est pas seulement un super-ministère», ni «simplement d'un regroupement» : il s'agit «vraiment sans concession de permettre à l'action publique d'être exemplaire, de fixer le cadre et d'avoir tous les moyens pour mener à bien» notre politique, a-t-il assuré. Le Medad aura «une capacité d'influence, voire d'autorité, sous l'autorité bien sûr de celle du Premier ministre, sur l'ensemble des actions menées par les différents ministères».
A fond dans les programmes durables
Par ailleurs, Jean-Louis Borloo a indiqué être «un obsédé des programmes» et vouloir «procéder avec la même méthode que pour la mise en oeuvre de son Plan de cohésion sociale, avec des objectifs et des sous-objectifs quantifiés et des comités de suivi et d'évaluation». Il a ajouté qu'il souhaitait incarner «un ministère de la réconciliation responsable» plutôt qu'un «ministère des tensions», pour parvenir à imposer les considérations écologiques au coeur de l'action du gouvernement.
En effet, au sein du Medad, on retrouvera les directions de l'eau, de l'énergie, des transports, des routes, de la mer, de l'urbanisme et de l'habitat. Le ministère sera organisé autour de cinq pôles : lutte contre le réchauffement climatique, transports, biodiversité, aménagement durable de l'espace, et prévention des risques techniques et sanitaires. «Ce n'est pas seulement un super-ministère», ni «simplement d'un regroupement» : il s'agit «vraiment sans concession de permettre à l'action publique d'être exemplaire, de fixer le cadre et d'avoir tous les moyens pour mener à bien» notre politique, a-t-il assuré. Le Medad aura «une capacité d'influence, voire d'autorité, sous l'autorité bien sûr de celle du Premier ministre, sur l'ensemble des actions menées par les différents ministères».
A fond dans les programmes durables
Par ailleurs, Jean-Louis Borloo a indiqué être «un obsédé des programmes» et vouloir «procéder avec la même méthode que pour la mise en oeuvre de son Plan de cohésion sociale, avec des objectifs et des sous-objectifs quantifiés et des comités de suivi et d'évaluation». Il a ajouté qu'il souhaitait incarner «un ministère de la réconciliation responsable» plutôt qu'un «ministère des tensions», pour parvenir à imposer les considérations écologiques au coeur de l'action du gouvernement.