Selon les chiffres du groupement national des agents immobiliers (NAR), les promesses de vente de logements anciens aux Etats-Unis ont chuté de 12,2% en juillet, après une hausse de 5% en juin.
Selon le NAR, l'indice s'est établi à 89,9 points en juillet après 102,4 points en juin. Sur un an, les promesses de ventes sont en baisse de 16,1%.
«Il est difficile de mesurer la part exacte prise par les interruptions de prêts immobiliers dans l'indice», a indiqué Lawrence Yun, économiste à la NAR : «nos membres nous disent que certaines transactions n'ont pas été finalisées parce que les promesses de prêts se sont effondrées au dernier moment». «Ces problèmes temporaires concernent en premier lieu les prêts à montants élevés, et des problèmes subsistent pour les emprunteurs à risque («subprime»), mais il n'y a pas de difficulté pour la majorité des acheteurs qui remplissent les critères de financement conventionnel», a-t-il ajouté. «Des inquiétudes demeurent du côté des clients, mais depuis la mi-août, le marché s'est dans une certaine mesure stabilisé», a-t-il poursuivi. «Si les prêteurs se concentrent sur les fondamentaux du profil financier de leurs clients (...) et se gardent de spéculer sur ce qui pourrait se passer dans le futur, une stabilisation plus large devrait avoir lieu prochainement», a-t-il conclu.
«Il est difficile de mesurer la part exacte prise par les interruptions de prêts immobiliers dans l'indice», a indiqué Lawrence Yun, économiste à la NAR : «nos membres nous disent que certaines transactions n'ont pas été finalisées parce que les promesses de prêts se sont effondrées au dernier moment». «Ces problèmes temporaires concernent en premier lieu les prêts à montants élevés, et des problèmes subsistent pour les emprunteurs à risque («subprime»), mais il n'y a pas de difficulté pour la majorité des acheteurs qui remplissent les critères de financement conventionnel», a-t-il ajouté. «Des inquiétudes demeurent du côté des clients, mais depuis la mi-août, le marché s'est dans une certaine mesure stabilisé», a-t-il poursuivi. «Si les prêteurs se concentrent sur les fondamentaux du profil financier de leurs clients (...) et se gardent de spéculer sur ce qui pourrait se passer dans le futur, une stabilisation plus large devrait avoir lieu prochainement», a-t-il conclu.