A la tête de l'établissement public d'aménagement de la Défense (EPAD) depuis 14 ans, Christian Bouvier vient de prendre sa retraite. Un directeur général par intérim a été nommé.
Le conseil d'administration de l'établissement public d'aménagement de la Défense (EPAD) a désigné le directeur général adjoint, Michel Gérin, pour succéder par intérim au directeur général, Christian Bouvier, qui a pris sa retraite le 27 janvier.
L'EPAD a été créé en 1958 pour développer le quartier d'affaires de la Défense, devenu le premier quartier d'affaires d'Europe avec 3,3 millions de m2 de bureaux.
Les derniers immeubles sont en cours de construction ou de négociation alors qu'un état des lieux est en train d'être réaliser afin de transmettre le domaine public, actuellement sous responsabilité de l'EPAD, aux communes concernées, Nanterre, Courbevoie et Puteaux, ainsi qu'au département des Hauts-de-Seine. L'entretien du domaine public, assuré jusqu'à ces dernières années par les revenus des terrains, entraîne actuellement un déficit pour l'EPAD d'environ 5 millions d'euros.
Si les collectivités locales ne bénéficient pas du produit des transactions, elles profitent en revanche de la taxe professionnelle dégagée par le quartier. Cette taxe - répartie entre les quatre collectivités - est estimée chaque année à au moins 152 millions d'euros.
L'EPAD a été créé en 1958 pour développer le quartier d'affaires de la Défense, devenu le premier quartier d'affaires d'Europe avec 3,3 millions de m2 de bureaux.
Les derniers immeubles sont en cours de construction ou de négociation alors qu'un état des lieux est en train d'être réaliser afin de transmettre le domaine public, actuellement sous responsabilité de l'EPAD, aux communes concernées, Nanterre, Courbevoie et Puteaux, ainsi qu'au département des Hauts-de-Seine. L'entretien du domaine public, assuré jusqu'à ces dernières années par les revenus des terrains, entraîne actuellement un déficit pour l'EPAD d'environ 5 millions d'euros.
Si les collectivités locales ne bénéficient pas du produit des transactions, elles profitent en revanche de la taxe professionnelle dégagée par le quartier. Cette taxe - répartie entre les quatre collectivités - est estimée chaque année à au moins 152 millions d'euros.