Gaz de France - Cegibat vous présente leurs principales caractéristiques.
Loin d'être limitée aux halls industriels de grande hauteur et aux quais de déchargement, la technique de chauffage par panneaux radiants convient également aux ateliers. Avec la mise au point de matériels spécifiques de taille et d'esthétique adaptées, elle a également conquis les ERP.
Atypiques, certaines utilisations s'aventurent en extérieur dans des zones couvertes et même en plein air, sur des usages bien spécifiques.
Bien encadrées par la réglementation, toutes ces solutions apportent non seulement une sécurité parfaite, mais aussi un confort économique, conforme à chaque situation.
Toute liberté d'implantation
Les panneaux radiants sont ceux qui se remarquent le plus facilement. La haute température (750 à 900 °C) surfacique de la céramique s'accompagne d'émissions de très faible longueur d’onde (autour de 3µm). De tels appareils peuvent être placés très en hauteur, entre 5 et 20 m, tout en assurant un chauffage confortable sur une zone définie. En matière de rayonnement, il ne s'agit pas de chauffage d'ambiance, mais de personnes, d'objets ou de matériels.
La puissance unitaire des panneaux radiants (de 2 à plus de 30 kW) laisse toute liberté d'implantation au concepteur.
Selon le cas, peu de panneaux, mais largement dimensionnés et haut perchés pour laisser le passage à des engins volumineux ou des ponts roulants, ou au contraire, un "maillage" plus serré, pas forcément uniforme, permettant une adaptation fine du chauffage aux besoins. Le bâtiment est alors découpé en "zones" chauffées ou non, et à des températures différentes en fonction des horaires d'occupation, de l'activité ou de tout autre paramètre (mise hors gel par exemple).
Les constructeurs proposent d'ailleurs des régulations spécifiques en complément de leurs gammes de panneaux, allant du coffret de base à l'armoire de régulation capable de gérer douze appareils.
De la basilique aux tribunes d'un stade
Certains locaux peuvent sembler "impossibles à chauffer" en raison de spécificités peu courantes. De la basilique Pie X à Lourdes (5 700 m3) à la terrasse d'un restaurant gastronomique ou la tribune d'un stade,
peu de points communs si ce n'est l'existence d'une solution adaptée de chauffage par radiant gaz naturel.
Les lieux de culte utilisent souvent des panneaux radiants de petite taille, fixés (le plus discrètement possible) sur les piliers de la nef. Moins envahissants pour l'architecture, les lustres chauffants sont simplement accrochés à un câble fixé à la voûte et dispensent sur les fidèles ou les auditeurs de concerts d'orgue la chaleur de leurs multiples minipanneaux.
Quant aux restaurants, la solution des appliques est appréciée des exploitants pour prolonger la durée d'utilisation de la terrasse lorsque les soirées rafraîchissent.
Dans le même souci de confort, certains stades proposent aux spectateurs une ambiance chaleureuse au moyen d'émetteurs intégrés dans la toiture.
En savoir plus :
Ce texte est extrait d'un article paru dans le n°61 de la revue Vecteur Gaz de Gaz de France-Cegibat (janvier-février 2005).
Pour recevoir ce n° adressez votre demande par e-mail à la librairie de Gaz de France-Cegibat.
Atypiques, certaines utilisations s'aventurent en extérieur dans des zones couvertes et même en plein air, sur des usages bien spécifiques.
Bien encadrées par la réglementation, toutes ces solutions apportent non seulement une sécurité parfaite, mais aussi un confort économique, conforme à chaque situation.
Toute liberté d'implantation
Les panneaux radiants sont ceux qui se remarquent le plus facilement. La haute température (750 à 900 °C) surfacique de la céramique s'accompagne d'émissions de très faible longueur d’onde (autour de 3µm). De tels appareils peuvent être placés très en hauteur, entre 5 et 20 m, tout en assurant un chauffage confortable sur une zone définie. En matière de rayonnement, il ne s'agit pas de chauffage d'ambiance, mais de personnes, d'objets ou de matériels.
La puissance unitaire des panneaux radiants (de 2 à plus de 30 kW) laisse toute liberté d'implantation au concepteur.
Selon le cas, peu de panneaux, mais largement dimensionnés et haut perchés pour laisser le passage à des engins volumineux ou des ponts roulants, ou au contraire, un "maillage" plus serré, pas forcément uniforme, permettant une adaptation fine du chauffage aux besoins. Le bâtiment est alors découpé en "zones" chauffées ou non, et à des températures différentes en fonction des horaires d'occupation, de l'activité ou de tout autre paramètre (mise hors gel par exemple).
Les constructeurs proposent d'ailleurs des régulations spécifiques en complément de leurs gammes de panneaux, allant du coffret de base à l'armoire de régulation capable de gérer douze appareils.
De la basilique aux tribunes d'un stade
Certains locaux peuvent sembler "impossibles à chauffer" en raison de spécificités peu courantes. De la basilique Pie X à Lourdes (5 700 m3) à la terrasse d'un restaurant gastronomique ou la tribune d'un stade,
peu de points communs si ce n'est l'existence d'une solution adaptée de chauffage par radiant gaz naturel.
Les lieux de culte utilisent souvent des panneaux radiants de petite taille, fixés (le plus discrètement possible) sur les piliers de la nef. Moins envahissants pour l'architecture, les lustres chauffants sont simplement accrochés à un câble fixé à la voûte et dispensent sur les fidèles ou les auditeurs de concerts d'orgue la chaleur de leurs multiples minipanneaux.
Quant aux restaurants, la solution des appliques est appréciée des exploitants pour prolonger la durée d'utilisation de la terrasse lorsque les soirées rafraîchissent.
Dans le même souci de confort, certains stades proposent aux spectateurs une ambiance chaleureuse au moyen d'émetteurs intégrés dans la toiture.
En savoir plus :
Ce texte est extrait d'un article paru dans le n°61 de la revue Vecteur Gaz de Gaz de France-Cegibat (janvier-février 2005).
Pour recevoir ce n° adressez votre demande par e-mail à la librairie de Gaz de France-Cegibat.
