ENTRETIEN. Après une année 2024 "contrastée et inhabituelle", Charier envisage 2025 avec davantage d'optimisme. Jean Vidal, président du directoire, dresse pour Batiactu le bilan et les perspectives de l'entreprise de travaux publics nantaise, dont le terrain de jeu se trouve principalement entre le Morbihan et les Charentes.


"Agir pour que ça dure." Telle est la mission que se donne l'entreprise de travaux publics nantaise Charier. Une signature adoptée en 2005, qui prend encore plus de sens depuis 2022, lorsqu'elle est devenue une entreprise à mission. Son développement doit ainsi répondre à ses trois objectifs statutaires, chacun ayant son plan d'action : transmettre, innover, rassembler.

 

Guidée par ces principes, l'entreprise se développe notamment vers de nouveaux métiers. Des "diversifications plutôt heureuses" qui lui ont d'ailleurs permis de résister en 2024. Car l'année n'a pas été simple, comme l'explique Jean Vidal, président du directoire de Charier, à Batiactu. Après avoir généré 370 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2023, son activité a ralenti l'année suivante. Mais des signaux positifs laissent penser que 2025 sera meilleure. D'autant que des pistes de croissance, même si elle reste raisonnée, sont bien identifiées, pour poursuivre le développement de l'entreprise malgré un contexte national et même mondial plein d'incertitudes.

Batiactu. L'année 2024 a été quelque peu chahutée dans les travaux publics, avec une activité en dents de scie. Quel est le bilan de cet exercice pour l'entreprise Charier ?

Jean Vidal. Elle a été une année de rupture, contrastée et inhabituelle.
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