Malgré les violences dans certaines régions, le principal adjudicataire des marchés liés à la reconstruction, le groupe américain de BTP Bechtel, indique n'avoir interrompu que 10% de ses chantiers. D'importantes mesures de sécurité ont toutefois été prises.
Bechtel travaille actuellement sur 50 projets en Irak pour le compte du gouvernement américain et seulement une poignée de sites ont connu "une interruption temporaire du travail", a précisé le groupe dans un communiqué.
"Notre calendrier général n'a pas été touché, et nous pensons achever le travail" assigné par les deux gros contrats passé à Bechtel par l'Agence américaine pour le développement international (USAID).
Les travaux dans le cadre du premier de ces contrats doivent être achevés fin décembre 2004. Les travaux du second contrat, surnommé "Irak II", devront être achevés fin décembre 2005. Rappelons que ces contrats portent sur différents types d'infrastructres (eau, électricité, ponts, aéroports, ports et rail).
Les tâches de Bechtel, qui ne procède pas lui-même aux travaux mais coordonne ceux de plus d'une centaine de sous-traitants, sont déterminés en particulier par USAID, précise le communiqué.
Le groupe a donné quelques indications sur sa manière de procéder, expliquant en particulier que les mouvements de personnel sont déterminés par les nécessités du chantier, mais aussi que les travaux administratifs sont le plus possible effectués en dehors d'Irak. La sécurité est d'une "importance capitale", a-t-il souligné.
Jeudi, le conglomérat industriel américain General Electric (GE) avait admis que la nécessité de protéger son personnel en Irak face à l'insécurité croissante l'obligeait à retarder certains projets de reconstruction sur lesquels il travaille.
"En raison de problèmes de sécurité, certains projets sur lesquels nous travaillions ont dû subir des retards", avait indiqué un porte-parole.
"Notre souci premier est la sécurité de notre personnel et nous avons dû prendre des mesures pour le protéger", avait-il ajouté en soulignant que GE appliquait ainsi des consignes données par les forces de la coalition engagée autour des Etats-Unis en Irak.
"Notre calendrier général n'a pas été touché, et nous pensons achever le travail" assigné par les deux gros contrats passé à Bechtel par l'Agence américaine pour le développement international (USAID).
Les travaux dans le cadre du premier de ces contrats doivent être achevés fin décembre 2004. Les travaux du second contrat, surnommé "Irak II", devront être achevés fin décembre 2005. Rappelons que ces contrats portent sur différents types d'infrastructres (eau, électricité, ponts, aéroports, ports et rail).
Les tâches de Bechtel, qui ne procède pas lui-même aux travaux mais coordonne ceux de plus d'une centaine de sous-traitants, sont déterminés en particulier par USAID, précise le communiqué.
Le groupe a donné quelques indications sur sa manière de procéder, expliquant en particulier que les mouvements de personnel sont déterminés par les nécessités du chantier, mais aussi que les travaux administratifs sont le plus possible effectués en dehors d'Irak. La sécurité est d'une "importance capitale", a-t-il souligné.
Jeudi, le conglomérat industriel américain General Electric (GE) avait admis que la nécessité de protéger son personnel en Irak face à l'insécurité croissante l'obligeait à retarder certains projets de reconstruction sur lesquels il travaille.
"En raison de problèmes de sécurité, certains projets sur lesquels nous travaillions ont dû subir des retards", avait indiqué un porte-parole.
"Notre souci premier est la sécurité de notre personnel et nous avons dû prendre des mesures pour le protéger", avait-il ajouté en soulignant que GE appliquait ainsi des consignes données par les forces de la coalition engagée autour des Etats-Unis en Irak.