L'activité sur le chantier du viaduc de Millau, partiellement bloqué depuis lundi matin par des opposants à la réorganisation de l'activité des hôpitaux de Saint-Affrique et de Millau, a été suspendue pour des raisons de sécurité.
"Eiffage a fait suspendre l'activité lundi en fin de matinée pour d'évidentes raisons de sécurité", a précisé Marc Legrand, pdg de la compagnie Eiffage du viaduc de Millau (CEVM), interrogé par téléphone.
Selon M. Legrand, qui n'a pas souhaité faire de commentaire sur la manifestation en soulignant que la nature du conflit ne concerne pas le viaduc, Eiffage évalue sa perte pour la journée de lundi à une dizaine de millier d'euros et va "prendre toute mesure conservatoire pour préserver (ses) droits et que le chantier puisse reprendre". Il a toutefois précisé que la CEVM ne demandait pas aux forces de l'ordre d'intervenir.
Lundi en milieu d'après-midi, quelque 400 manifestants, qui bloquent l'accès au chantier depuis 7H00, se trouvaient toujours au pied de la pile P4.
Ces défenseurs de l'hôpital de Saint-Affrique demandent le retrait d'un protocole réorganisant les services de cet hôpital et de celui de de Millau, réunis au sein du Centre hospitalier inter-communal (CHIC).
Selon M. Legrand, qui n'a pas souhaité faire de commentaire sur la manifestation en soulignant que la nature du conflit ne concerne pas le viaduc, Eiffage évalue sa perte pour la journée de lundi à une dizaine de millier d'euros et va "prendre toute mesure conservatoire pour préserver (ses) droits et que le chantier puisse reprendre". Il a toutefois précisé que la CEVM ne demandait pas aux forces de l'ordre d'intervenir.
Lundi en milieu d'après-midi, quelque 400 manifestants, qui bloquent l'accès au chantier depuis 7H00, se trouvaient toujours au pied de la pile P4.
Ces défenseurs de l'hôpital de Saint-Affrique demandent le retrait d'un protocole réorganisant les services de cet hôpital et de celui de de Millau, réunis au sein du Centre hospitalier inter-communal (CHIC).
