Ce nouveau concept d'hôtel baptisé YOtel! s'inspire des hôtels-capsules nippons et des confortables classes affaires des avions.
Dans l'une des capitales où les prix de l'immobilier sont parmi les plus chers au monde, le premier YOtel! devrait être inauguré en 2005 avec 200 chambres en plein-centre de Londres pour 70 livres sterling (105 euros) la nuit, "un prix défiant toute concurrence", selon son fondateur.
Le secret : réduire au maximum la taille des chambres et les construire sur des sites inexploités. "Notre concept peut être installé dans un aéroport, dans un sous-sol sans lumière naturelle, sous un parking de supermarché, sur le toit d'un immeuble ou même à l'intérieur d'un pont", explique l'homme d'affaires britannique qui a dévoilé à Londres son projet.
Si les chambres ne mesureront que 3,6 mètres sur 2,75 m et si les occupants ne devront se contenter que d'une fenêtre donnant... sur le couloir du YOtel!.
En revanche, le confort sera maximal. Chaque chambre sera équipée d'un écran de télévision high tech, d'une connexion internet à haut-débit permettant notamment de télécharger des centaines de films et d'albums musicaux, détaille la plaquette de présentation de YOtel!.
La "mini-suite" aura bien sûr sa propre salle de bain tandis que l'atmosphère de la chambre (lumières, couleurs des murs) pourra être changée par les occupants en pianotant sur une console informatique.
"On aura davantage l'impression d'être dans la cabine d'un yacht de luxe que dans une chambre d'hôtel", assure Simon Woodroofe.
"Je savais que je voulais créer un nouvelle forme d'hôtel à la fois luxueux et bon marché mais je n'arrivais pas à la mettre en forme", raconte M. Woodrofe qui est l'une des coqueluches de la télévision britannique.
"Jusqu'au jour où j'ai eu la chance d'être surclassé en classe affaires sur un vol équipé de fauteuils qui se transforme en lits et j'ai eu l'illumination: celui qui a créé ce fauteuil doit concevoir mon hôtel", poursuit-il.
Pour la réalisation, Simon Woodroofe a contacté le cabinet britannique de design Priestman Goode qui a participé à la conception des cabines de l'A380, l'avion géant d'Airbus.
Le secret : réduire au maximum la taille des chambres et les construire sur des sites inexploités. "Notre concept peut être installé dans un aéroport, dans un sous-sol sans lumière naturelle, sous un parking de supermarché, sur le toit d'un immeuble ou même à l'intérieur d'un pont", explique l'homme d'affaires britannique qui a dévoilé à Londres son projet.
Si les chambres ne mesureront que 3,6 mètres sur 2,75 m et si les occupants ne devront se contenter que d'une fenêtre donnant... sur le couloir du YOtel!.
En revanche, le confort sera maximal. Chaque chambre sera équipée d'un écran de télévision high tech, d'une connexion internet à haut-débit permettant notamment de télécharger des centaines de films et d'albums musicaux, détaille la plaquette de présentation de YOtel!.
La "mini-suite" aura bien sûr sa propre salle de bain tandis que l'atmosphère de la chambre (lumières, couleurs des murs) pourra être changée par les occupants en pianotant sur une console informatique.
"On aura davantage l'impression d'être dans la cabine d'un yacht de luxe que dans une chambre d'hôtel", assure Simon Woodroofe.
"Je savais que je voulais créer un nouvelle forme d'hôtel à la fois luxueux et bon marché mais je n'arrivais pas à la mettre en forme", raconte M. Woodrofe qui est l'une des coqueluches de la télévision britannique.
"Jusqu'au jour où j'ai eu la chance d'être surclassé en classe affaires sur un vol équipé de fauteuils qui se transforme en lits et j'ai eu l'illumination: celui qui a créé ce fauteuil doit concevoir mon hôtel", poursuit-il.
Pour la réalisation, Simon Woodroofe a contacté le cabinet britannique de design Priestman Goode qui a participé à la conception des cabines de l'A380, l'avion géant d'Airbus.