Un village d'une trentaine de chalets destinés aux sans-abris pourrait bientôt voir le jour à Strasbourg. Le préfet délégué à la coordination de l'hébergement et de l'accès au logement a indiqué mardi que ce projet pourrait bénéficier de l'enveloppe de 6 millions d'euros, réservée à l'hébergement d'urgence.
Un «oui de principe» pour le financement d'un village de chalets destinés à accueillir les sans-abris à Strasbourg : c'est ce qu'a formulé Alain Régnier, préfet délégué à la coordination de l'hébergement et de l'accès au logement, après avoir rencontré mardi les représentant de plusieurs associations de lutte contre l'exclusion dans le Bas-Rhin.
Ce projet, porté par le collectif strasbourgeois des Enfants de Don Quichotte, prévoit la construction d'une trentaine de chalets. La construction et la gestion seraient confiées à la société d'économie mixte Adoma (ex-Sonacotra). Alain Régnier a insisté sur le caractère «co-construit» du projet, et a souligné le nécessaire «dialogue entre les acteurs locaux et l'Etat. (?) Le porteur du projet ne doit pas arriver en disant ?signez le chèque?», a-t-il expliqué.
Selon les Enfants de Don Quichotte, le financement total de ce projet «ne devrait pas excéder 700.000 euros». Il doit s'inscrire dans une enveloppe globale de 6 millions d'euros pour l'hébergement d'urgence. Quatre villages de ce type existent déjà, à Caen et en région parisienne.
Ce projet, porté par le collectif strasbourgeois des Enfants de Don Quichotte, prévoit la construction d'une trentaine de chalets. La construction et la gestion seraient confiées à la société d'économie mixte Adoma (ex-Sonacotra). Alain Régnier a insisté sur le caractère «co-construit» du projet, et a souligné le nécessaire «dialogue entre les acteurs locaux et l'Etat. (?) Le porteur du projet ne doit pas arriver en disant ?signez le chèque?», a-t-il expliqué.
Selon les Enfants de Don Quichotte, le financement total de ce projet «ne devrait pas excéder 700.000 euros». Il doit s'inscrire dans une enveloppe globale de 6 millions d'euros pour l'hébergement d'urgence. Quatre villages de ce type existent déjà, à Caen et en région parisienne.