Selon le cabinet immobilier, les prix de limmobilier en France devraient entrer dans « une phase datterrissage » dès le mois de septembre. Et ce, avec un ralentissement du rythme de la hausse.
«Les prix vont entrer dans une phase d'atterrissage dès le mois de septembre», a affirmé mardi Hervé Bléry, directeur général de Century 21 (réseau qui compte 800 agences en France) lors d'une conférence de presse.
Signe que le marché immobilier est en train de changer, le délai de vente moyen «amorce une augmentation», passant au premier semestre à 68 jours contre 64 jours à la même période en 2004.
Century 21 remarque également une augmentation de ses stocks d'environ 10% sur les six premiers mois de l'année. Pendant cette période, les prix ont cependant poursuivi leur progression partout en France (+11,53% par rapport au premier semestre 2004).
A Marseille, Century 21 a souligné «le rythme complètement farfelu» d'évolution des prix, qui ont grimpé de plus de 17% pour les appartements au premier semestre 2005 par rapport au deuxième semestre 2004.
Dans une ville comme Montreuil (93), où se reportent les Parisiens qui ne peuvent plus acheter dans la capitale, «une maison se négocie autour de 300.000 euros en moyenne, alors qu'il y a trois ans il n'y avait aucune chance de vendre une maison au-dessus de 150.000 euros», souligne encore Hervé Bléry.
Du point de vue des locations, les loyers ont reculé sur les six premiers mois de l'année de 1,09% pour les appartements et de 2,37% pour les maisons, par rapport au second semestre 2004.
Signe que le marché immobilier est en train de changer, le délai de vente moyen «amorce une augmentation», passant au premier semestre à 68 jours contre 64 jours à la même période en 2004.
Century 21 remarque également une augmentation de ses stocks d'environ 10% sur les six premiers mois de l'année. Pendant cette période, les prix ont cependant poursuivi leur progression partout en France (+11,53% par rapport au premier semestre 2004).
A Marseille, Century 21 a souligné «le rythme complètement farfelu» d'évolution des prix, qui ont grimpé de plus de 17% pour les appartements au premier semestre 2005 par rapport au deuxième semestre 2004.
Dans une ville comme Montreuil (93), où se reportent les Parisiens qui ne peuvent plus acheter dans la capitale, «une maison se négocie autour de 300.000 euros en moyenne, alors qu'il y a trois ans il n'y avait aucune chance de vendre une maison au-dessus de 150.000 euros», souligne encore Hervé Bléry.
Du point de vue des locations, les loyers ont reculé sur les six premiers mois de l'année de 1,09% pour les appartements et de 2,37% pour les maisons, par rapport au second semestre 2004.