Les centres commerciaux se multiplient autour des villes : pôles spécialisés dans un secteur, supermarchés, magasins d'usine… Afin d'obtenir des emplacements, les enseignes rivalisent d'audace et d'arguments pour décrocher quelques milliers de mètres carrés. Nouvelle tendance sur ce marché juteux : l'implantation de zones commerciales en centre-ville. Tour d'horizon de quelques projets.
Les centres commerciaux fleurissent de plus en plus aux alentours des villes. Magasins d'usines, supermarchés, espaces spécialisés… les enseignes essaient toutes de se frayer un chemin dans l'univers des zones commerciales.
Très prisés, les milliers de mètres carrés s'achètent à prix d'or. De plus, comme les augmentations de surfaces commerciales sont faibles, les prix des loyers flambent. C'est donc une véritable bataille qui s'engage entre les différentes enseignes afin de décrocher un emplacement.
Au total, les ouvertures de centres commerciaux ont atteint 230.000 m2 en 2007, selon les derniers chiffres du cabinet Cushman et Wakefield. Un chiffre important qui a toutefois baissé car depuis quelques années les commerces de périphérie via les «retails parks» semblent prendre la place occupée jusqu'ici par les centres commerciaux. L'ouverture des ces nouveaux parcs ont représenté 650.000 m2 en 2007 dont une bonne partie de parcs nouvelle génération comme Altarea à Thiais, Aubergenville ou encore le concept de «Family Village» au Mans qui allie à la fois loisir et offre commerciale.
Boom du commerce thématique
Dernière évolution en date : l'essor du commerce thématique, notamment dans le secteur de la maison (bricolage, décoration) à travers des enseignes comme Domus ou Maison +. Enfin, tous ces projets misent sur l'amélioration esthétique architecturale. Ainsi, l'architecte Jean Paul Viguier a signé le centre Confluence à Lyon et le cabinet Valode & Pistre s'est occupé du Carré Sénat en Seine et Marne.
Et si jusqu'en 2003, les périphéries se partageaient les centres commerciaux et les zones d'activités commerciales, dorénavant il faut compter sur les villes. De tailles plus modestes, les complexes ont pris possession des centres-villes en faisant attention à bien s'intégrer dans les quartiers historiques. On peut citer, entres autres, le Jardin des Quais à Bordeaux et les Centres-Villes de Lorient.
La LME pourrait tout changer
Mais le paysage commercial pourrait une nouvelle fois être bouleversé avec l'application de la loi de modernisation de l'économie qui prévoit de faciliter l'implantation commerciale, avec un relèvement de 300 à 1.000 m2 le seuil de déclenchement de la procédure d'autorisation pour l'ouverture d'une grande surface. Une mesure qui annonce des changements importants pour l'immobilier commercial.
Tour d'horizon de quelques projets
Très prisés, les milliers de mètres carrés s'achètent à prix d'or. De plus, comme les augmentations de surfaces commerciales sont faibles, les prix des loyers flambent. C'est donc une véritable bataille qui s'engage entre les différentes enseignes afin de décrocher un emplacement.
Au total, les ouvertures de centres commerciaux ont atteint 230.000 m2 en 2007, selon les derniers chiffres du cabinet Cushman et Wakefield. Un chiffre important qui a toutefois baissé car depuis quelques années les commerces de périphérie via les «retails parks» semblent prendre la place occupée jusqu'ici par les centres commerciaux. L'ouverture des ces nouveaux parcs ont représenté 650.000 m2 en 2007 dont une bonne partie de parcs nouvelle génération comme Altarea à Thiais, Aubergenville ou encore le concept de «Family Village» au Mans qui allie à la fois loisir et offre commerciale.
Boom du commerce thématique
Dernière évolution en date : l'essor du commerce thématique, notamment dans le secteur de la maison (bricolage, décoration) à travers des enseignes comme Domus ou Maison +. Enfin, tous ces projets misent sur l'amélioration esthétique architecturale. Ainsi, l'architecte Jean Paul Viguier a signé le centre Confluence à Lyon et le cabinet Valode & Pistre s'est occupé du Carré Sénat en Seine et Marne.
Et si jusqu'en 2003, les périphéries se partageaient les centres commerciaux et les zones d'activités commerciales, dorénavant il faut compter sur les villes. De tailles plus modestes, les complexes ont pris possession des centres-villes en faisant attention à bien s'intégrer dans les quartiers historiques. On peut citer, entres autres, le Jardin des Quais à Bordeaux et les Centres-Villes de Lorient.
La LME pourrait tout changer
Mais le paysage commercial pourrait une nouvelle fois être bouleversé avec l'application de la loi de modernisation de l'économie qui prévoit de faciliter l'implantation commerciale, avec un relèvement de 300 à 1.000 m2 le seuil de déclenchement de la procédure d'autorisation pour l'ouverture d'une grande surface. Une mesure qui annonce des changements importants pour l'immobilier commercial.
Tour d'horizon de quelques projets