ANALYSE. Quelle est la stratégie des pouvoirs publics pour la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE), qui commence en 2022, et pourquoi ces décisions récentes sur les CEE précarité et les offres coups de pouce ? Explications sur le pari de l'État pour recadrer le dispositif, avec plusieurs intervenants du marché contactés par Batiactu.
Si les offres coups de pouce, notamment en isolation, ont été en quelque sorte les "stars" de la quatrième période des certificats d'économie d'énergie (CEE), l'entrée en vigueur en 2022 de la cinquième période devrait signifier la fin de la récréation. A compter de cette date, seules les offres coup de pouce intégrant des énergies renouvelables (pompes à chaleur, biomasse) devraient subsister. Exit l'isolation, les chaudières gaz THPE en remplacement d'anciennes chaudières gaz et les convecteurs électriques. Malgré ces abandons, l'objectif global pour la future période sera en hausse, de 12,5%, alors même que les coups de pouce constituaient un levier facile et efficace pour épuiser les obligations. Comment l'État compte-t-il se tirer de cet apparent paradoxe ? Batiactu a sollicité plusieurs acteurs pour comprendre sa stratégie, et en évaluer la faisabilité.
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