Le 29 septembre, les salariés du constructeur d'engins de travaux publics Caterpillar se prononceront sur une réorganisation du temps de travail visant à réduire à 600 au lieu de 733 le nombre de licenciements prévus dans le cadre d'un plan social prochain.
Les salariés de Caterpillar, constructeur d'engins de travaux publics, se prononceront par un vote le 29 septembre sur une réorganisation de leur temps de travail. Cette dernière vise à réduire de 733 à 600 le nombre de licenciements prévus dans le cadre d'un plan social.
«L'enjeu de ce référendum est de savoir si les salariés de Caterpillar sont prêts à faire des efforts de flexibilité pour conserver leurs emplois», a expliqué le secrétaire du comité d'entreprise de Caterpillar, Robert Gamez.
En effet, ce référendum vise à ratifier ou à annuler un accord-cadre signé en mai par la CFDT, FO et CFTC, majoritaires, mais rejeté par la CGT, au bout d'un conflit social de plusieurs semaines contre ce plan social, marqué par la séquestration de quatre cadres.
«L'enjeu de ce référendum est de savoir si les salariés de Caterpillar sont prêts à faire des efforts de flexibilité pour conserver leurs emplois», a expliqué le secrétaire du comité d'entreprise de Caterpillar, Robert Gamez.
En effet, ce référendum vise à ratifier ou à annuler un accord-cadre signé en mai par la CFDT, FO et CFTC, majoritaires, mais rejeté par la CGT, au bout d'un conflit social de plusieurs semaines contre ce plan social, marqué par la séquestration de quatre cadres.
Les résultats de cette consultation pèseront également sur la «pérennité» des sites de Grenoble et d'Echirolles qui emploient actuellement 1.980 salariés. A noter qu'une ratification de cet accord-cadre, imposant à l'ensemble des salariés une nouvelle organisation du temps de travail à partir de janvier 2010, permettra par ailleurs d'augmenter de 6.000 euros l'indemnité de licenciement des personnes visées par le plan social.