Caterpillar, le numéro un mondial des engins de chantier, s'est vu refuser le droit de poursuivre en justice les studios de cinéma Walt Disney qu'il accusait de diffamer ses produits dans le DVD "George de la Jungle 2".
La suite de "George de la Jungle" montre un tarzan de pacotille extrêmement maladroit qui se bat contre des "méchants" utilisant des engins de chantiers jaunes --la couleur de la marque Caterpillar-- pour détruire des pans de jungle.
C'est ce qui chagrine Caterpillar qui estime que l'association d'engins de chantiers jaunes avec ces personnages peu recommandables nuisent à son image.
A l'heure où le placement de marques dans les films est devenu une industrie à part entière, Caterpillar souligne, dans un communiqué, que "la marque Caterpillar représente la qualité, la durabilité et est un symbole du progrès dans le monde entier".
Outre les engins de chantier grandeur nature, Caterpillar a également autorisé sous licence la fabrication de modèles réduits et de jouets, et craint que son image ne souffre auprès d'un jeune public.
"Caterpillar est déçu que Disney, avec qui il fait affaire, ait utilisé sans permission, l'équipement Caterpillar et l'ait montré sous un jour défavorable" contraire aux engagements du groupe en faveur de l'environnement et du développement durable, poursuit le communiqué.
Pour mieux appuyer son argumentation --alors qu'un juge a rejeté lundi le dossier-- Caterpillar rappelle qu'il est entre autres représenté au conseil d'administration de la Tropical Forest Foundation, une ONG qui a pour vocation la conservation des forêts tropicales en encourageant son exploitation raisonnée.
Le groupe "continue de penser que l'usage que Disney fait des produits et de la marque Caterpillar dans cette vidéo est inapproprié et est une atteinte à ses droits", dit-il encore.
C'est ce qui chagrine Caterpillar qui estime que l'association d'engins de chantiers jaunes avec ces personnages peu recommandables nuisent à son image.
A l'heure où le placement de marques dans les films est devenu une industrie à part entière, Caterpillar souligne, dans un communiqué, que "la marque Caterpillar représente la qualité, la durabilité et est un symbole du progrès dans le monde entier".
Outre les engins de chantier grandeur nature, Caterpillar a également autorisé sous licence la fabrication de modèles réduits et de jouets, et craint que son image ne souffre auprès d'un jeune public.
"Caterpillar est déçu que Disney, avec qui il fait affaire, ait utilisé sans permission, l'équipement Caterpillar et l'ait montré sous un jour défavorable" contraire aux engagements du groupe en faveur de l'environnement et du développement durable, poursuit le communiqué.
Pour mieux appuyer son argumentation --alors qu'un juge a rejeté lundi le dossier-- Caterpillar rappelle qu'il est entre autres représenté au conseil d'administration de la Tropical Forest Foundation, une ONG qui a pour vocation la conservation des forêts tropicales en encourageant son exploitation raisonnée.
Le groupe "continue de penser que l'usage que Disney fait des produits et de la marque Caterpillar dans cette vidéo est inapproprié et est une atteinte à ses droits", dit-il encore.