La banque d'affaires Morgan Stanley et l'homme d'affaires américain Simon Glick ont fait une nouvelle offre de reprise sur Canary Wharf, que le groupe immobilier britannique recommande à ses actionnaires.
La société et les deux repreneurs potentiels travaillent à présent à l'élaboration d'une offre définitive, a précisé le groupe dans un communiqué.
Les actionnaires recevraient soit tout en cash, soit 220 pence en cash et le reste en action à droit de vote limité de la nouvelle maison-mère de Canary Wharf.
Cette annonce est un nouveau rebondissement dans le feuilleton de la reprise de Canary Wharf. La saga avait démarré en juin, lorsque le groupe avait annoncé qu'il avait été approché en vue d'une reprise.
Morgan Stanley et le diamantaire Simon Glick (propriétaire de 14,4% de Canary Wharf) avaient fait une première offre, à 255 pence par action (en numéraire et en action), qui avait été acceptée dans un premier temps par le comité indépendant de Canary Wharf avant finalement d'être rejetée.
Le groupe avait aussi rejeté une autre offre, proposée par le groupe immobilier canadien Brascan, qui détient une participation de 9% dans Canary Wharf.
A la mi-novembre, Paul Reichmann, président du groupe et détenteur de 7,5%, avait quitté ses fonctions de président pour tenter de mettre sur pied un consortium pouvant faire une offre supérieure à celles de Morgan Stanley et de Brascan.
M. Reichmann a dirigé dans les années 80 le consortium qui a développé l'ensemble immobilier. Il s'était ensuite éloigné, pour revenir en 1995 pour sauver le groupe en difficulté financière, et l'avait introduit en bourse en 1999.
Canary Wharf possède notamment le gratte-ciel le plus élevé de Grande-Bretagne, haut de 235 mètres. Il gère 1,45 million de m³ de bureaux dans plusieurs tours et immeubles, et un ensemble immobilier au coeur du projet de régénération des quartiers industriels des Docklands, situés à l'est de la capitale britannique.
Les actionnaires recevraient soit tout en cash, soit 220 pence en cash et le reste en action à droit de vote limité de la nouvelle maison-mère de Canary Wharf.
Cette annonce est un nouveau rebondissement dans le feuilleton de la reprise de Canary Wharf. La saga avait démarré en juin, lorsque le groupe avait annoncé qu'il avait été approché en vue d'une reprise.
Morgan Stanley et le diamantaire Simon Glick (propriétaire de 14,4% de Canary Wharf) avaient fait une première offre, à 255 pence par action (en numéraire et en action), qui avait été acceptée dans un premier temps par le comité indépendant de Canary Wharf avant finalement d'être rejetée.
Le groupe avait aussi rejeté une autre offre, proposée par le groupe immobilier canadien Brascan, qui détient une participation de 9% dans Canary Wharf.
A la mi-novembre, Paul Reichmann, président du groupe et détenteur de 7,5%, avait quitté ses fonctions de président pour tenter de mettre sur pied un consortium pouvant faire une offre supérieure à celles de Morgan Stanley et de Brascan.
M. Reichmann a dirigé dans les années 80 le consortium qui a développé l'ensemble immobilier. Il s'était ensuite éloigné, pour revenir en 1995 pour sauver le groupe en difficulté financière, et l'avait introduit en bourse en 1999.
Canary Wharf possède notamment le gratte-ciel le plus élevé de Grande-Bretagne, haut de 235 mètres. Il gère 1,45 million de m³ de bureaux dans plusieurs tours et immeubles, et un ensemble immobilier au coeur du projet de régénération des quartiers industriels des Docklands, situés à l'est de la capitale britannique.