Une enquête sur les trois dernières promotions de l'Ecole Spéciale des Travaux Publics (ESTP) confirme l'attractivité du BTP qui accueille quelque 60% des diplômés de l'école.
L'enquête emploi annuelle réalisée avec la conférence des grandes écoles auprès des 3 dernières promotions vient de publier ses résultats. Le recrutement des jeunes ingénieurs de l'ESTP par le secteur de la construction et de l'aménagement est en hausse. Il accueille une moyenne de 60 % des 3 dernières promotions, un chiffre qui s'élève à 68 % de la promo sortante au sein de laquelle l'audit et le conseil ont perdu 2 points et les technologies de l'information 6%.
Principaux métiers : production exploitation chantier 30,5 %, ingénierie 17,5 %, audit et conseil 13 %, marketing commercial 13%, urbanisme architecture 4,5 %. L'émergence des métiers de l'environnement est à noter chez les jeunes diplômés.
Le taux d'activité l'ensemble des 3 dernières promotions reste stable autour de 80 % : 79 % travaillent, 14,5 % poursuivent des études et 5,5 % sont à la recherche d'un emploi.
Le salaire moyen d'embauche tourne autour de 31.000 euros (60 % des 3 dernières promotions gagnent entre 30 et 40.000 euros/an hors avantages en nature dont la moyenne est de 6.000 euros). 10 % des jeunes diplômés travaillent à l'étranger et plus de 20 % effectuent déjà des missions à l'étranger.
Enfin, avec 19 % des effectifs, la présence féminine à l'ESTP représente un pourcentage honorable parmi les écoles d'ingénieurs. Tendance récurrente depuis 3 ans, les filles entrent dans la vie active un peu plus vite que les garçons (81 % contre 77%), elles prolongent un peu moins leurs études (13 % contre 15,5%) mais la parité des salaires est acquise.
Des secteurs d'activités sensiblement identiques mais des métiers différenciés.
Si les filles sont proportionnellement un peu plus nombreuses à rejoindre le secteur de la construction et de l'aménagement (62 % contre 59% des garçons) elles se dirigent vers les métiers de l'ingénierie, de l'urbanisme et de l'architecture, et les postes marketing-commercial plutôt que dans les fonctions de production et d'exploitation de chantier.
Principaux métiers : production exploitation chantier 30,5 %, ingénierie 17,5 %, audit et conseil 13 %, marketing commercial 13%, urbanisme architecture 4,5 %. L'émergence des métiers de l'environnement est à noter chez les jeunes diplômés.
Le taux d'activité l'ensemble des 3 dernières promotions reste stable autour de 80 % : 79 % travaillent, 14,5 % poursuivent des études et 5,5 % sont à la recherche d'un emploi.
Le salaire moyen d'embauche tourne autour de 31.000 euros (60 % des 3 dernières promotions gagnent entre 30 et 40.000 euros/an hors avantages en nature dont la moyenne est de 6.000 euros). 10 % des jeunes diplômés travaillent à l'étranger et plus de 20 % effectuent déjà des missions à l'étranger.
Enfin, avec 19 % des effectifs, la présence féminine à l'ESTP représente un pourcentage honorable parmi les écoles d'ingénieurs. Tendance récurrente depuis 3 ans, les filles entrent dans la vie active un peu plus vite que les garçons (81 % contre 77%), elles prolongent un peu moins leurs études (13 % contre 15,5%) mais la parité des salaires est acquise.
Des secteurs d'activités sensiblement identiques mais des métiers différenciés.
Si les filles sont proportionnellement un peu plus nombreuses à rejoindre le secteur de la construction et de l'aménagement (62 % contre 59% des garçons) elles se dirigent vers les métiers de l'ingénierie, de l'urbanisme et de l'architecture, et les postes marketing-commercial plutôt que dans les fonctions de production et d'exploitation de chantier.
