Une négociation nationale de branche a été ouverte pour la mise en place de l'épargne salariale dans le secteur du bâtiment, et notamment dans les petites et moyennes entreprises du secteur.
Ouverte dans le cadre de la loi dite Fabius du 19 février 2001 sur l'épargne salariale, cette négociation doit permettre, selon la Fédération française du Bâtiment (FFB), de "mettre en place au niveau de la profession un dispositif permettant de développer l'épargne salariale, notamment dans les petites et moyennes entreprises" du secteur.
La première réunion de négociation qui a eu lieu lundi a été l'occasion d'un "tour de table" au cours duquel a été fait "le constat d'une volonté commune de parvenir à un accord", a indiqué la FFB qui a rappelé que cette négociation s'inscrivait "dans le prolongement des accords existants depuis plusieurs années sur la participation".
Trois sujets ont été abordés lors de cette séance à laquelle participaient les cinq organisations syndicales de salariés (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC et CFTC): "l'abondement par l'employeur, le choix des organismes gestionnaires et le rôle des représentants des salariés", a précisé la FFB.
De son côté, la CFDT a précisé ses revendications dans cette négociation: la "mise en place d'un plan d'épargne inter-entreprises", "un abondement conséquent des entreprises", la mise en oeuvre "d'une épargne de longue durée" et diversifiée ainsi que "de critères sociaux et environnementaux" pour la gérer.
La prochaine réunion de négociation doit avoir lieu le 1er juillet.
La première réunion de négociation qui a eu lieu lundi a été l'occasion d'un "tour de table" au cours duquel a été fait "le constat d'une volonté commune de parvenir à un accord", a indiqué la FFB qui a rappelé que cette négociation s'inscrivait "dans le prolongement des accords existants depuis plusieurs années sur la participation".
Trois sujets ont été abordés lors de cette séance à laquelle participaient les cinq organisations syndicales de salariés (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC et CFTC): "l'abondement par l'employeur, le choix des organismes gestionnaires et le rôle des représentants des salariés", a précisé la FFB.
De son côté, la CFDT a précisé ses revendications dans cette négociation: la "mise en place d'un plan d'épargne inter-entreprises", "un abondement conséquent des entreprises", la mise en oeuvre "d'une épargne de longue durée" et diversifiée ainsi que "de critères sociaux et environnementaux" pour la gérer.
La prochaine réunion de négociation doit avoir lieu le 1er juillet.