Une délégation de constructeurs et promoteurs français (Vinci, Suez, Nexity?) a accompagné lundi le ministre des Transports et de l'Equipement, Dominique Perben, lors d'une visite à La Nouvelle-Orléans afin de nouer des contacts et peut-être aider à la reconstruction.
«C'est encore trop tôt» pour parler de contrats signés mais des partenariats «ont été noués et un dialogue concret s'est instauré» entre les entrepreneurs français et les autorités locales, a indiqué lundi soir Dominique Perben depuis Washington. «Les Américains ont été particulièrement surpris par l'arrivée de cette délégation et désireux de nouer des partenariats» dans le cadre de la reconstruction de la ville ravagée fin août par le cyclone Katrina, a précisé le ministre de l'Equipement.
Selon Dominique Perben, le voyage était aussi placé sous le signe de la solidarité compte tenu des liens culturels et historiques qui existent entre la France et La Nouvelle-Orléans, soulignant que cette ville, «toujours privée du tiers de sa population, reste très affaiblie».
Dans l'entourage du ministre on expliquait que les Américains avait montré un fort intérêt concernant la capacité des entreprises françaises à apporter des «solutions globales» comme la reconstruction de la totalité du port de la ville ou la rénovation des quartiers d'habitations détruits. Et après cette première prise se contact, la prochaine étape devrait être l'envoi rapide d'ingénieurs et de techniciens français pour étudier le marché.
Selon Dominique Perben, le voyage était aussi placé sous le signe de la solidarité compte tenu des liens culturels et historiques qui existent entre la France et La Nouvelle-Orléans, soulignant que cette ville, «toujours privée du tiers de sa population, reste très affaiblie».
Dans l'entourage du ministre on expliquait que les Américains avait montré un fort intérêt concernant la capacité des entreprises françaises à apporter des «solutions globales» comme la reconstruction de la totalité du port de la ville ou la rénovation des quartiers d'habitations détruits. Et après cette première prise se contact, la prochaine étape devrait être l'envoi rapide d'ingénieurs et de techniciens français pour étudier le marché.
