Invitées par le Conseil des affaires algéro-américain (CAAA), une cinquantaine d'entreprises américaines spécialisées dans le BTP et le logement ont participé dimanche à Alger (Algérie) à un symposium algéro-américain consacré à la promotion des échanges entre les deux pays, notamment dans les domaines des infrastructures et du logement.
Alors que le gouvernement algérien veut construire d'ici 2009 un million de logements pour résorber la crise aiguë dans le secteur du BTP et du logement, le pays organise un symposium algéro-américain consacré à la promotion des échanges entre les deux pays.
« L'Algérie est le pays le plus attractif d'Afrique en matière d'investissements. Il est le seul capable de payer, en raison d'une aisance financière (NDLR: due à la flambée des prix du pétrole sur le marché internationale). Cela ne peut qu'attirer les entreprises américaines », a expliqué Ismaïl Chikhoun, président du CAAA. Et dajouter que « le rapprochement politique (entre les deux pays) favorise leurs relations commerciales ».
Selon l'ambassadeur américain à Alger Robert S. Ford, les échanges bilatéraux ont atteint, en 2006, 14 milliards de dollars, soit multipliés par près de 5 en 10 ans, ce qui fait de l'Algérie le deuxième partenaire des Etats-Unis dans le monde arabe. Ces échanges, constitués à 95% d'hydrocarbures, étaient d'environ 3 milliards de dollars en 1997. Les Etats-Unis cherchent cependant à équilibrer ces échanges en exportant plus vers l'Algérie, a souligné lambassadeur américain.
Des entreprises algériennes vont participer à la prochaine foire internationale agricole de Chicago, dans l'espoir d'obtenir des marchés aux Etats-Unis.
Rappelons que l'Algérie a engagé des programmes de développement importants dans ces deux secteurs dont un programme d'infrastructures axé sur l'extension des réseaux routier et ferroviaire.
« L'Algérie est le pays le plus attractif d'Afrique en matière d'investissements. Il est le seul capable de payer, en raison d'une aisance financière (NDLR: due à la flambée des prix du pétrole sur le marché internationale). Cela ne peut qu'attirer les entreprises américaines », a expliqué Ismaïl Chikhoun, président du CAAA. Et dajouter que « le rapprochement politique (entre les deux pays) favorise leurs relations commerciales ».
Selon l'ambassadeur américain à Alger Robert S. Ford, les échanges bilatéraux ont atteint, en 2006, 14 milliards de dollars, soit multipliés par près de 5 en 10 ans, ce qui fait de l'Algérie le deuxième partenaire des Etats-Unis dans le monde arabe. Ces échanges, constitués à 95% d'hydrocarbures, étaient d'environ 3 milliards de dollars en 1997. Les Etats-Unis cherchent cependant à équilibrer ces échanges en exportant plus vers l'Algérie, a souligné lambassadeur américain.
Des entreprises algériennes vont participer à la prochaine foire internationale agricole de Chicago, dans l'espoir d'obtenir des marchés aux Etats-Unis.
Rappelons que l'Algérie a engagé des programmes de développement importants dans ces deux secteurs dont un programme d'infrastructures axé sur l'extension des réseaux routier et ferroviaire.